cffj14 a écrit :Toujours aussi plaisant de lire vos récits et vous imaginer dans cette situation
Merci du compliment.
Hier j’ai eu la chance d’être royalement blackée, en deux parties. En effet, hier matin, vers 11h, je reçois un sms de James, me demandant si je suis disponible à la pause méridienne, pour le rejoindre chez lui et me faire africaniser. Ni une, ni deux, je lui réponds un grand oui. Une telle invitation ne se refuse pas, moi qui suis affamée de queue noire.
Vêtue d’une jupe en cuir noir, d’une chemise en jean, d’un perfecto en cuir noir, de boots à talons en cuir noir et avec pour seul sous-vêtement un tanga en dentelle noire, que je trempe déjà rien de penser à me faire africaniser dans une heure, j’ai du mal à me concentrer sur mon travail, et je file à 12h pétantes rejoindre mon étalon black.
Arrivée chez lui, il m’ouvre tout de suite, dans le plus simple appareil, me fait rentrer dans son appartement et m’embrasse goulûment pendant que je malaxe sa bite noire et qui pétrit mes fesses moulées dans ma jupe en cuir. Après ce langoureux baiser, je m’agenouille devant lui et enfourne sa si belle queue noire dans ma bouche de blanche à blacks. Et dire qu’il y a un peu plus d’une heure j’étais la sage et bourgeoise Directrice et que depuis 10 minutes je me suis transformée en la salope à blacks que j’adore être.
Je lèche, aspire, avale au plus profond de ma gorge son gland, sa queue, parcourue de sublimes veines saillantes, ses couilles noires, puissantes, remplies de sperme chaud et fécond, je bave abondamment sur sa belle pine noire comme l’ébène, en m’agrippant a ses cuisses et ses fesses musclées.
Puis, il me relève et décide qu’il est l’heure pour moi d’être pénétrée par sa magnificence. Nous allons, main dans la main, sur son canapé. Il retire mon perfecto, ma chemise en jean, me positionne en levrette, retrousse ma jupe en cuir, retire mon tanga, et plonge sa tête dans ma chatte et mon anus, qui lèche sans retenue. Je suis parcourue de frissons, je tremble de plaisir, je jouis comme une damnée, mais j’en veux plus, je veux qu’il m’empale, qu’il me blacke sans aucune retenue.
Il positionne son gland à l’entrée de ma chatte, empoigne mes fesses blanches de ses sublimes mains noires et s’enfonce jusqu’à la garde en moi. J’en ai le souffle coupé, j’adore cette sensation d’être bien remplie, puis il commence à me pistonner de tout son long, ses couilles claquant puissamment sur mon fessier blanc. Il ne me ménage aucunement. Après de longues minutes en levrette, il me baise en missionnaire, puis en position de la cuillère, pour enfin revenir en levrette au moment où il jouit en moi. Je suis repue, lui aussi, j’en profite pour nettoyer son gland de sa semence et ma mouille et aussi lui lécher l’anus. Je suis sa femme blanche et j’adore cela.
Je lui offre mon tanga, me refait une beauté en prenant une légère douche et je file au bureau sur mon nuage. J’ai été improductive tout l’après-midi, pensant à cette magnifique queue africaine qui me labourait il y a quelques heures auparavant, dans un cinq à sept brûlant de passion, laissant ma chatte pleine de sa semence.
Et le soir nous avons remis cela, chez nous, le tout sous le regard attendri de mon époux.