- 12 févr. 2024, 20:56
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Mes deux mains sur ses hanches qui remontent sous son pull léger pour découvrir sa poitrine avant de venir l’embrasser. Puis une main qui se faufile sous son pantalon, se joue de sa culotte pour trouver un sexe quasiment totalement rasé, doux et humide, délicieusement humide. Mes doigts glissent sur son anatomie sans aucune difficulté tant le liquide est présent. Le fond de sa culotte a rendu l’âme. Jamais vu une telle envie. Son sexe est ouvert et la pénétration d’un doigt se fait sans aucune difficulté. Ce majeur semble bien isolé au milieu de sa chaleur intime ; il ressort et revient fermement, accompagné d’un autre doigt. Le changement de diamètre semble satisfaire madame dont la respiration s’accélère. Deux doigts bien enfoncés en elle, avec de longs mouvements répétitifs, des doigts qui viennent se recourber en elle pour prendre pleinement possession de sa chatte.
Se libérer de l’inconfort de son jean ; retirer cette main de ce sexe ; sentir la chaleur de son con, rester incrédule face à ces doigts luisants de mouille. Goûter cette mouille et lui faire partager ce liquide. Elle ouvre la bouche et accepte volontiers ce doigt le long de ses lèvres, sur ses dents puis sur sa langue. Elle lèche ce doigt, assez fière de son humidité. Enlever le plus rapidement possible ce tissu moulant, faire tomber sa culotte, mater son petit cul blanc si rond, tenir son regard pendant qu’elle se déshabille, qu’on se déshabille, pendant que les mains continuent de découvrir ces nouveaux corps, elle se frottant contre mon sexe. Puis sa main habile qui le saisit et l’astique sans ménagement pour éprouver sa dureté. Elle tire dessus, ses yeux verts me tenant en ligne de mire, imperturbable. Des yeux qui deviennent de plus en plus fous en découvrant l’effet qu’elle produit. Elle branle en tenant fermement ma queue, sûre d’elle puis elle vient me téter, sans prendre le gland dans sa bouche, juste avec la langue et les lèvres. Un vrai délice. Des défis permanents dans le regard, pleinement maitresse des ravages qu’elle crée.
Je la repousse sans ménagement et m’éloigne de ce puits de tentation. La guerre des regards se poursuit, oscillant entre les appâts de ces corps nus, la vision de ces sexes excités, de ces visages écarlates, à travers des regards perdus, hors du temps de travail, hors de ce lieu professionnel. Le silence est de rigueur, les bureaux se vident à cette heure, en principe, en principe seulement et nous ne sommes pas à l’abri d’une conscience professionnelle trop poussée de certains collègues. Le rythme des véhicules quittant la société se réduit pour bientôt laisser place à des ronronnements sporadiques.
Elle comprend qu’elle a maintenant le droit de me rejoindre lorsque je suis assis sur un fauteuil. Elle avance lentement, regard fou, seins tendus vers l’avant. Elle vient prendre possession de mon membre et le frotte à nouveau, ses yeux braqués dans les miens. Penchée en avant, les seins au-dessus d’une bouche qui ne peut se retenir d’embrasser, de lécher, de titiller, de mordiller la poitrine de cette experte en branlette, elle écarte ses jambes à ma demande. Et là apparaissent deux magnifiques lèvres luisantes, débordant de son sexe. Elles luisent, longues, collées l’une à l’autre par sa liqueur. Un simple doigt permet de les séparer pour montrer un sexe totalement ouvert. Son clitoris est déjà très gonflé. Chacun branle l’autre, les yeux dans les yeux et la règle implicite interdit de rompre ce lien. La tension monte, l’excitation entraîne des battements cardiaques que les derniers collaborateurs présents doivent forcément entendre. Ses pupilles s’ouvrent, se concentrent et partent parfois loin, elle retient cette main enfoncée en elle, serre ma queue de plus en plus fort, se mord les lèvres, place sa main libre devant sa bouche pour faire taire cette respiration affolée puis finalement se laisse porter pour partir au milieu des contractions de son corps. Elle retombe sur moi, corps chaud et apaisé. Moment de partage, de caresses, de baisers apaisés, de réconfort après cet affrontement, les oreilles aux aguets d’un potentiel bruit dans l’escalier.
Elle se redresse, retrouve ses habits jetés dans la salle. Sa main s’empare de son téléphone.
- « Excuse-moi, il faut que j’envoie un message à mon mari. »