- Aujourd’hui, 00:56
#2809527
voici la suite :
J’avais la chance d’avoir des horaires de travail différentes de celles d’Antoine. Antoine partait tôt le matin, moi je travaillais à mi-temps uniquement l’après-midi. Et il m’arrivait de me recoucher une fois Antoine parti. Petit à petit un rituel s’est installé, je me recouchais avec mon womanizer et si l’envie me prenait je l’utilisais. Parfois je pensais à Antoine, parfois je me concentrais intensément sur mon plaisir et parfois je pensais à quelques beaux acteurs ou sportifs que j’appréciais.
Après quelques utilisations celui-ci se déchargeait et donc je le rechargeais, et un jour ce qui devait arriver, arriva. Antoine rentra à la maison et trouva le womaniser en train de charger et compris de lui-même mes “petites” infidélités.
Alors on a parlé. Antoine me confia être un peu vexé, j’avais honte, et en même temps, comment revenir en arrière? Je ne pourrais plus me passer de ces petits moments de douceurs matinales. J’ai fait front, sorti mes arguments féministes, mon corps est à moi et j’en fais ce que je veux, et si je veux plus alors j’essaierai plus. Antoine avait l’air ému mais il accepta quand même. Après tout on est au 21ème siècle, “mon corps m’appartient”.
Quelques semaines après, Antoine m’offrit mon nouveau copain: Brad. Un magnifique dildo de 20 cm. Je ne m’étais jamais amusée à mesurer le sexe d’Antoine, mais il y avait une vraie différence. Deux choses me choquaient chez Brad: sa taille et sa couleur. Brad n’était pas seulement large il était épais, il repoussait les bords de ma chatte bien plus que ce qu’Antoine le faisait. Honnêtement ce n’était pas forcément mieux, simplement différent. Mais ce qui me choquait le plus c’était la couleur. Noire! Antoine remarqua cela et devança ma question: “comme ça tu pourras penser qu’un autre que moi te pénètre, si tu le fais sans moi, autant être honnête ma chéri”. Et il ajouta un clin d’oeil. Je mourrais d’envie de vite l’utiliser mais par courtoisie je décidais d’attendre mon cher et tendre.
On utilisa Brad dans nos ébats et je l’utilisais parfois seule avec ou sans mon womanizer. Et à partir de ce moment, j'ai commencé à regarder des films pour adultes. Rien de bien méchant, j’essayais de trouver du porno doux, et de jouer en même temps avec mes amis artificiels les scènes du film. Il y eut même quelquefois où je suçais Brad, parce qu’à cet instant du film l’actrice faisait de même et ça m’excitait. J’avais de plus en plus envie d’essayer pour de vrai avec un autre homme, mais je n’osais pas en parler à Antoine. Certes mon corps est à moi, mais le couple c’est aussi un engagement réciproque.