- 01 août 2024, 09:55
#2814351
Cette histoire n'est pas dans la suite directe des deux précédentes.
D'autres histoires ont eu lieu entre temps, plus ou moins coquines. Toujours est-il que suite à notre seconde rencontre Mme a compris qu'elle pouvait se lâcher et profiter de son corps avec des amants et avec moi.
En été les culottes étaient bannies sous ses jupes et robes, d'une part elle se sentait plus libre mais aussi plus disponible.
Lorsque nous couchions ensemble, seul, elle me susurrait parfois :
- je suis une salope, j'ai envie de me faire sauter par d'autres queues. Re laisse moi coucher avec un autre !!
Ce qui me provoquait des érections monstrueuses et qui la faisait réagir :
- ah, la je la sens bien ta queue, c'est quand tu t'imagines me voir baiser avec un autre que ta queue est au max. Dommage que face à la réalité elle redevienne ridiculement petite...
Lors de nos séances de sexe, elle me confia qu'elle trouvait dommage de devoir attendre mon approbation pour pouvoir coucher avec un autre. Que ces plans culs les plus excitant étaient justement ceux qui n'étaient pas prémédité. Par exemple en vacances avec le barman.
Elle me demandait donc à avoir "carte blanche", pouvoir baiser quand elle veut avec qui elle veut sans avoir à me demander mon accord.
Lorsque ma queue était plantée au fond de sa petite chatte, bien sur que j'étais d'accord, mais une fois l'excitation retombé c’était une autre histoire.
J'étais tout de suite moins emballé, la peur que cela ne dérape complètement...
Les semaines et mois passèrent sans que l'un des ces trous ne soient visités par un autre.
Les rendez vous prémédité ne l’intéressaient vraiment plus.
C’était soit carte blanche soit rien, les deux lui convenait ce qui me rassura un peu.
Cependant la perte d'activité sexuelle avec d'autres se reflétait sur la notre également.
Nos baises étaient plus courte et moins intenses.
L'été était de retour, et elle me relançait pour avoir sa liberté totale. La chatte à l'air, et les seins libres sous ses robes la sensibilisait à nouveau.
Je lui laissait donc sa liberté me disant que de toute manière on ne choppe pas comme ça au détour d'une ruelle ou dans un bar.
On fait un premier contact oui, peut être mais on ne couche pas si vite, de même elle sortait peu.
Courant de l'été elle faisait parfois des soirées filles avec une ou deux collègues, elles sortaient dans un bar après le boulot et parfois allaient au resto.
Un soir elle m’écrit qu'elle allait faire un tour dans un bar après le resto, qu'elle rentrerait tôt, qu'elle était avec une amie du boulot ce qu'elle me confirma pas plusieurs photos avec elle tenant des cocktails.
Vers 23h je n'avais pas de nouvelles, je lui écrivait donc, elle était toujours au bar. Des hommes leurs payaient des verres, elles en profitaient donc.
Vers 1h elle rentra enfin, très heureuse de sa soirée, elle se jeta sur moi pour m'embrasser.
Sa bouche sentait l'alcool mais autre chose également... Elle sentait la queue.
- Tu sens la bite !
- Ne le dit pas sur ce ton, regarde comme ça t'excite déjà, tu as deviné et tu bandes déjà... Ta bite de cocu est déjà fièrement dressée. dit-elle avec un sourire.
Elle me raconta donc sa soirée.
D'autres histoires ont eu lieu entre temps, plus ou moins coquines. Toujours est-il que suite à notre seconde rencontre Mme a compris qu'elle pouvait se lâcher et profiter de son corps avec des amants et avec moi.
En été les culottes étaient bannies sous ses jupes et robes, d'une part elle se sentait plus libre mais aussi plus disponible.
Lorsque nous couchions ensemble, seul, elle me susurrait parfois :
- je suis une salope, j'ai envie de me faire sauter par d'autres queues. Re laisse moi coucher avec un autre !!
Ce qui me provoquait des érections monstrueuses et qui la faisait réagir :
- ah, la je la sens bien ta queue, c'est quand tu t'imagines me voir baiser avec un autre que ta queue est au max. Dommage que face à la réalité elle redevienne ridiculement petite...
Lors de nos séances de sexe, elle me confia qu'elle trouvait dommage de devoir attendre mon approbation pour pouvoir coucher avec un autre. Que ces plans culs les plus excitant étaient justement ceux qui n'étaient pas prémédité. Par exemple en vacances avec le barman.
Elle me demandait donc à avoir "carte blanche", pouvoir baiser quand elle veut avec qui elle veut sans avoir à me demander mon accord.
Lorsque ma queue était plantée au fond de sa petite chatte, bien sur que j'étais d'accord, mais une fois l'excitation retombé c’était une autre histoire.
J'étais tout de suite moins emballé, la peur que cela ne dérape complètement...
Les semaines et mois passèrent sans que l'un des ces trous ne soient visités par un autre.
Les rendez vous prémédité ne l’intéressaient vraiment plus.
C’était soit carte blanche soit rien, les deux lui convenait ce qui me rassura un peu.
Cependant la perte d'activité sexuelle avec d'autres se reflétait sur la notre également.
Nos baises étaient plus courte et moins intenses.
L'été était de retour, et elle me relançait pour avoir sa liberté totale. La chatte à l'air, et les seins libres sous ses robes la sensibilisait à nouveau.
Je lui laissait donc sa liberté me disant que de toute manière on ne choppe pas comme ça au détour d'une ruelle ou dans un bar.
On fait un premier contact oui, peut être mais on ne couche pas si vite, de même elle sortait peu.
Courant de l'été elle faisait parfois des soirées filles avec une ou deux collègues, elles sortaient dans un bar après le boulot et parfois allaient au resto.
Un soir elle m’écrit qu'elle allait faire un tour dans un bar après le resto, qu'elle rentrerait tôt, qu'elle était avec une amie du boulot ce qu'elle me confirma pas plusieurs photos avec elle tenant des cocktails.
Vers 23h je n'avais pas de nouvelles, je lui écrivait donc, elle était toujours au bar. Des hommes leurs payaient des verres, elles en profitaient donc.
Vers 1h elle rentra enfin, très heureuse de sa soirée, elle se jeta sur moi pour m'embrasser.
Sa bouche sentait l'alcool mais autre chose également... Elle sentait la queue.
- Tu sens la bite !
- Ne le dit pas sur ce ton, regarde comme ça t'excite déjà, tu as deviné et tu bandes déjà... Ta bite de cocu est déjà fièrement dressée. dit-elle avec un sourire.
Elle me raconta donc sa soirée.
Dionysos06, frenchy a liké