- 23 août 2024, 01:16
#2818957
Une fois rentré nous avons donc eu une discussion.
Il est vrai que quand j’ai lu que son collègue avait fait une allusion sexuelle à ma meuf tout en matant ses pieds, pile le jour où je lui demande si il continuait à garder ses distances, ça m’a paru louche.
Mais ayant très envie que ça reparte entre eux, et étant obligé de faire confiance à ma chérie pour le bon déroulement de notre relation, j’ai décidé de la croire.
Je lui ai donc demandé si elle comptait reprendre le flirt où il s’était arrêté.
Évidemment en faisant croire à son collègue que je n’étais pas au courant, pour qu’il pense qu’elle continuerait à me tromper (puisqu’il refuse de coucher avec elle si je suis au courant)
Elle m’a dit qu’elle ne savait pas trop.
Qu’évidemment elle en avait envie. Mais qu’elle était aussi stressé.
«La façon dont ça s’est terminé, le fait que tu te retrouves à avoir un blocage sexuel et que tu ne puisses plus me toucher, que quand je flirtait avec lui tu voulais tout contrôler, ça me fait peur. Je ne vais pas te cacher que j’ai un peu envie que ça reparte. Ne serait-ce que pour voir si il arrive à me faire jouir. Mais tout ça me stresse. Je n’ai pas envie de te perdre. Rien que d’y penser j’ai la boule au ventre. Et je n’ai pas non plus envie de le faire souffrir.»
Je l’ai donc rassuré. En lui disant une nouvelle fois que j’avais bien compris que le sexe avec lui n’était pas comparable avec le sexe entre nous. Que lui c’était lui et moi c’était moi.
Qu’il était là pour lui donner tout le plaisir que je suis incapable de lui procurer.
Que je n’insisterais pas. Mais que si ça ne tenait qu’à moi, elle reprendrait le flirt avec son collègue. Parce que j’avais adoré notre relation, et la grande complicité qu’il y avait eu entre elle et moi durant les 2 mois où elle flirtait avec lui.
Que si elle décidait de reprendre, j’essaierai d’être un peu moins dans le contrôle.
Que je voulais qu’elle jouisse avec lui.
Et que pour ne pas qu’il souffre, il lui suffirait de dire à nouveau à son collègue qu’elle avait envie de s’amuser avec lui. Que ça ne serait que du cul entre eux. Qu’elle n’avait pas l’intention de me quitter. Mais qu’elle avait envie de passer de bon moment avec lui, si il pouvait accepter que ça n’irait jamais plus loin entre eux.
Elle m’a dit :
«Je vais réfléchir. Je pense que je vais accepter ta proposition de reprendre le flirt avec lui. Mais je ne te promet pas. C’est plus un "oui" qu’un "non" mais je n’ai pas encore pris ma décision. Alors s’il te plaît ne me met pas la pression. Si je ne te donnes pas de nouvelles les prochains jours c’est simplement que je ne me serais pas encore décidé.»
Et on en ai plus ou moins rester là
Il est vrai que quand j’ai lu que son collègue avait fait une allusion sexuelle à ma meuf tout en matant ses pieds, pile le jour où je lui demande si il continuait à garder ses distances, ça m’a paru louche.
Mais ayant très envie que ça reparte entre eux, et étant obligé de faire confiance à ma chérie pour le bon déroulement de notre relation, j’ai décidé de la croire.
Je lui ai donc demandé si elle comptait reprendre le flirt où il s’était arrêté.
Évidemment en faisant croire à son collègue que je n’étais pas au courant, pour qu’il pense qu’elle continuerait à me tromper (puisqu’il refuse de coucher avec elle si je suis au courant)
Elle m’a dit qu’elle ne savait pas trop.
Qu’évidemment elle en avait envie. Mais qu’elle était aussi stressé.
«La façon dont ça s’est terminé, le fait que tu te retrouves à avoir un blocage sexuel et que tu ne puisses plus me toucher, que quand je flirtait avec lui tu voulais tout contrôler, ça me fait peur. Je ne vais pas te cacher que j’ai un peu envie que ça reparte. Ne serait-ce que pour voir si il arrive à me faire jouir. Mais tout ça me stresse. Je n’ai pas envie de te perdre. Rien que d’y penser j’ai la boule au ventre. Et je n’ai pas non plus envie de le faire souffrir.»
Je l’ai donc rassuré. En lui disant une nouvelle fois que j’avais bien compris que le sexe avec lui n’était pas comparable avec le sexe entre nous. Que lui c’était lui et moi c’était moi.
Qu’il était là pour lui donner tout le plaisir que je suis incapable de lui procurer.
Que je n’insisterais pas. Mais que si ça ne tenait qu’à moi, elle reprendrait le flirt avec son collègue. Parce que j’avais adoré notre relation, et la grande complicité qu’il y avait eu entre elle et moi durant les 2 mois où elle flirtait avec lui.
Que si elle décidait de reprendre, j’essaierai d’être un peu moins dans le contrôle.
Que je voulais qu’elle jouisse avec lui.
Et que pour ne pas qu’il souffre, il lui suffirait de dire à nouveau à son collègue qu’elle avait envie de s’amuser avec lui. Que ça ne serait que du cul entre eux. Qu’elle n’avait pas l’intention de me quitter. Mais qu’elle avait envie de passer de bon moment avec lui, si il pouvait accepter que ça n’irait jamais plus loin entre eux.
Elle m’a dit :
«Je vais réfléchir. Je pense que je vais accepter ta proposition de reprendre le flirt avec lui. Mais je ne te promet pas. C’est plus un "oui" qu’un "non" mais je n’ai pas encore pris ma décision. Alors s’il te plaît ne me met pas la pression. Si je ne te donnes pas de nouvelles les prochains jours c’est simplement que je ne me serais pas encore décidé.»
Et on en ai plus ou moins rester là