- Hier, 12:33
#2824910
De nouveau le jeune amant est venu hier soir.
Avant l’arrivée de son amant, Ishtar a vérifié que j’avais mis une cage de chasteté.
J’ai été cantonné seul dans une pièce à côté. Et au travers des murs et des portes, j’ai entendu…
Cette fois-ci, il semble plus décidé. Plus entreprenant. Il a compris qu’il pouvait s’amuser avec Ishtar et qu’elle aimait ça.
C’est d’ailleurs elle qui le chauffe au départ. Je les entends rigoler. Elle, entreprenante, lui, impressionné mais enthousiaste…
Lors d’une première pause dialogue, j’ai entendu Ishtar pousser ses soupirs. Son amant l’a léchée généreusement et elle a aimé ça.
Plus tard, insensiblement j’ai senti les claquements répétitifs de la peau contre la peau. Accompagnant ce rythme ensorcelant, les petits gémissements saccadés
Cette fois-ci, il a joui sans faire de bruit.
Après son départ, Ishtar m’a regardé dans les yeux avec son sourire tendre et moqueur. Celui qui m’annonce les yeux dans les yeux que je suis cocu et qu’elle a bien aimé faire l’amour avec son amant.
Elle m’a dit qu’il était mignon. L’amant est jeune et doux. Prudent et respectueux. C’est très important pour elle.
Elle m'a dit comment il l'avait léchée en lui caressant les seins, comment ils étaient embrassés langoureusement. Elle m'a dit comment elle l'avait accueilli en elle. Sur le dos, l'amant sur elle. Tous les deux nus dans la lumière orange d'une lampe au sel. Sur un fond de musique indienne. Rituel sacré de Ishtar et son amant. Le cocu à l'écart.
Elle m’a offert de la lécher dans les énergies de son amant. En la léchant, j’ai senti les odeurs de leurs ébats en elle. Le goût de la capote, son parfum sur elle. Je l’ai léchée en bon cocu pour la nettoyer et la faire jouir.
Pendant le repas, elle me l’a répété plusieurs fois. “Tu es bien cocu mon amour”.
Elle m'a montré la capoté remplie du sperme de l'amant. Comme la preuve accablante de mon statut de cocu.
Le soir, après le repas, en allant au lit, je pensais qu’elle me libérerait et qu’elle me demanderait de lui faire l’amour. Mais rien de tout ça. Elle m’a ordonné de garder la cage au lit. Elle m’a avoué le plaisir qu’elle avait à décider elle-même cela.
La cage me tire fort la nuit. Alors je dors assez mal. Je somnole seulement. Durant la nuit j’ai alors compris que c’était pour moi l’occasion de repenser très précisément à tout ce que j’avais entendu. Bien intégrer mon statut de cocu pendant que Ishtar à côté de moi dormait paisiblement.
Au réveil elle semblait heureuse de sentir mon sexe en cage. Satisfaite de me posséder et de pouvoir jouer à sa guise avec son jeune amant doux. Et pour moi, la sensation de sentir sa volonté sur moi, dans ma chair. Une tendresse particulière nous lie depuis ce matin.
Elle envisage d’autres scénarios avec son amant. Plus croustillants… plus osés. A suivre.
le Cocu d'Ishtar
Avant l’arrivée de son amant, Ishtar a vérifié que j’avais mis une cage de chasteté.
J’ai été cantonné seul dans une pièce à côté. Et au travers des murs et des portes, j’ai entendu…
Cette fois-ci, il semble plus décidé. Plus entreprenant. Il a compris qu’il pouvait s’amuser avec Ishtar et qu’elle aimait ça.
C’est d’ailleurs elle qui le chauffe au départ. Je les entends rigoler. Elle, entreprenante, lui, impressionné mais enthousiaste…
Lors d’une première pause dialogue, j’ai entendu Ishtar pousser ses soupirs. Son amant l’a léchée généreusement et elle a aimé ça.
Plus tard, insensiblement j’ai senti les claquements répétitifs de la peau contre la peau. Accompagnant ce rythme ensorcelant, les petits gémissements saccadés
Cette fois-ci, il a joui sans faire de bruit.
Après son départ, Ishtar m’a regardé dans les yeux avec son sourire tendre et moqueur. Celui qui m’annonce les yeux dans les yeux que je suis cocu et qu’elle a bien aimé faire l’amour avec son amant.
Elle m’a dit qu’il était mignon. L’amant est jeune et doux. Prudent et respectueux. C’est très important pour elle.
Elle m'a dit comment il l'avait léchée en lui caressant les seins, comment ils étaient embrassés langoureusement. Elle m'a dit comment elle l'avait accueilli en elle. Sur le dos, l'amant sur elle. Tous les deux nus dans la lumière orange d'une lampe au sel. Sur un fond de musique indienne. Rituel sacré de Ishtar et son amant. Le cocu à l'écart.
Elle m’a offert de la lécher dans les énergies de son amant. En la léchant, j’ai senti les odeurs de leurs ébats en elle. Le goût de la capote, son parfum sur elle. Je l’ai léchée en bon cocu pour la nettoyer et la faire jouir.
Pendant le repas, elle me l’a répété plusieurs fois. “Tu es bien cocu mon amour”.
Elle m'a montré la capoté remplie du sperme de l'amant. Comme la preuve accablante de mon statut de cocu.
Le soir, après le repas, en allant au lit, je pensais qu’elle me libérerait et qu’elle me demanderait de lui faire l’amour. Mais rien de tout ça. Elle m’a ordonné de garder la cage au lit. Elle m’a avoué le plaisir qu’elle avait à décider elle-même cela.
La cage me tire fort la nuit. Alors je dors assez mal. Je somnole seulement. Durant la nuit j’ai alors compris que c’était pour moi l’occasion de repenser très précisément à tout ce que j’avais entendu. Bien intégrer mon statut de cocu pendant que Ishtar à côté de moi dormait paisiblement.
Au réveil elle semblait heureuse de sentir mon sexe en cage. Satisfaite de me posséder et de pouvoir jouer à sa guise avec son jeune amant doux. Et pour moi, la sensation de sentir sa volonté sur moi, dans ma chair. Une tendresse particulière nous lie depuis ce matin.
Elle envisage d’autres scénarios avec son amant. Plus croustillants… plus osés. A suivre.
le Cocu d'Ishtar