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Présentation des couples candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
par Larcet
#2770404
Bonjour,
Homme de 50 ans en couple, madame est éloignée de cet esprit de complicité. Cérébral et intrigué par ces relations de couples candaulistes. Une belle rencontre m'a permis une première approche de ce mode de vie. Là pour raconter et échanger.
olch, OnPlay a liké
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par cestpasmoi
#2770429
Bonjour à vous et bienvenue sur le Forum Candaulisme. N'hésitez pas à vous inscrire en ++ sur notre tchat candauliste (si ce n'est déjà fait), il est totalement gratuit.
Vous pourrez y tchatter et y poster/echanger des photos après avoir demandé le diam's dans le sujet ici : viewtopic.php?f=8&t=84340.
Vous pouvez également lire quelques articles sur le blog candau : http://blog.forum-candaulisme.fr/
Bon forum à vous.
Jeandonne a liké
par Larcet
#2774372
Une mission après une autre ; des rencontres, des découvertes professionnelles, amicales parfois, des échanges au fur et à mesure des intérims d’une entreprise à une autre. S’adapter aux rythmes, aux ambiances ; tenter d’apporter des changements ; réussir … ou non.

Une mission un peu plus longue avec une équipe réduite ; une responsable dynamique, avec du charme, beaucoup de charme, fine mouche pour faire avancer le groupe, sachant employer le bon discours avec chacun. Petit tour de la boîte en sa compagnie (quels yeux !!!) ; présentation du poste (verts, ses yeux, verts), de ses contraintes (un regard vraiment incroyable renforcé par un léger maquillage) et des objectifs attendus (très belle femme, vraiment, au corps frêle et à la démarche décidée, rythmée par le bruit de ses talons).

Déjeuners avec les autres salariés au fur et à mesure des mois, groupes plus ou moins étendus, parfois en tête à tête avec elle ; échanges anodins puis de plus en plus personnels ; sa vie de couple semble morose ; nos échanges réguliers rythment les semaines et tournent aux confidences personnelles. Faudrait arrêter de me regarder comme ça…

Un dossier incomplet, des pièces manquantes qui sont sûrement dans les archives ; visite dans la salle du dernier étage où ma méconnaissance des lieux ne me permet pas de trouver la totalité de la solution en cette fin de journée. Des talons qui grimpent l’escalier en bois, qui ne pourront que déboucher sur cette unique pièce située à l’étage. Un pas reconnaissable, un son connu.

Quelques échanges oraux sur mes recherches, peu assurés et peu cohérents pour chacun d’entre nous ; quelques échanges de regards bien peu en rapport avec le travail… Une proximité physique de plus en plus prononcée. Son parfum autour de moi. Une tension indéniable. Des regards fixes, des sourires, sa taille à portée de main ; une caresse sur ses hanches, sa main posée sur mon épaule ; un baiser pour découvrir l’autre, long baiser pour goûter, goûter encore, encore plus, déguster l’autre, la manger davantage, la dévorer franchement, la bouffer complètement. Respirer de temps en temps, la manger goulument puis ralentir le rythme parce que ça va craquer ! Prendre sa tête à deux mains pour la maintenir ou non à distance ; se rapprocher de ses lèvres pour les effleurer du bout des miennes, les ouvrir, introduire lentement la langue ; l’éloigner rapidement de moi pour entendre sa respiration puis, tout aussi brusquement, revenir l’embrasser ou lui mordre les lèvres ; la respirer entièrement.
systros, zztop, nicolas75011 et 2 autres a liké
par Larcet
#2777873
Mes deux mains sur ses hanches qui remontent sous son pull léger pour découvrir sa poitrine avant de venir l’embrasser. Puis une main qui se faufile sous son pantalon, se joue de sa culotte pour trouver un sexe quasiment totalement rasé, doux et humide, délicieusement humide. Mes doigts glissent sur son anatomie sans aucune difficulté tant le liquide est présent. Le fond de sa culotte a rendu l’âme. Jamais vu une telle envie. Son sexe est ouvert et la pénétration d’un doigt se fait sans aucune difficulté. Ce majeur semble bien isolé au milieu de sa chaleur intime ; il ressort et revient fermement, accompagné d’un autre doigt. Le changement de diamètre semble satisfaire madame dont la respiration s’accélère. Deux doigts bien enfoncés en elle, avec de longs mouvements répétitifs, des doigts qui viennent se recourber en elle pour prendre pleinement possession de sa chatte.
Se libérer de l’inconfort de son jean ; retirer cette main de ce sexe ; sentir la chaleur de son con, rester incrédule face à ces doigts luisants de mouille. Goûter cette mouille et lui faire partager ce liquide. Elle ouvre la bouche et accepte volontiers ce doigt le long de ses lèvres, sur ses dents puis sur sa langue. Elle lèche ce doigt, assez fière de son humidité. Enlever le plus rapidement possible ce tissu moulant, faire tomber sa culotte, mater son petit cul blanc si rond, tenir son regard pendant qu’elle se déshabille, qu’on se déshabille, pendant que les mains continuent de découvrir ces nouveaux corps, elle se frottant contre mon sexe. Puis sa main habile qui le saisit et l’astique sans ménagement pour éprouver sa dureté. Elle tire dessus, ses yeux verts me tenant en ligne de mire, imperturbable. Des yeux qui deviennent de plus en plus fous en découvrant l’effet qu’elle produit. Elle branle en tenant fermement ma queue, sûre d’elle puis elle vient me téter, sans prendre le gland dans sa bouche, juste avec la langue et les lèvres. Un vrai délice. Des défis permanents dans le regard, pleinement maitresse des ravages qu’elle crée.
Je la repousse sans ménagement et m’éloigne de ce puits de tentation. La guerre des regards se poursuit, oscillant entre les appâts de ces corps nus, la vision de ces sexes excités, de ces visages écarlates, à travers des regards perdus, hors du temps de travail, hors de ce lieu professionnel. Le silence est de rigueur, les bureaux se vident à cette heure, en principe, en principe seulement et nous ne sommes pas à l’abri d’une conscience professionnelle trop poussée de certains collègues. Le rythme des véhicules quittant la société se réduit pour bientôt laisser place à des ronronnements sporadiques.
Elle comprend qu’elle a maintenant le droit de me rejoindre lorsque je suis assis sur un fauteuil. Elle avance lentement, regard fou, seins tendus vers l’avant. Elle vient prendre possession de mon membre et le frotte à nouveau, ses yeux braqués dans les miens. Penchée en avant, les seins au-dessus d’une bouche qui ne peut se retenir d’embrasser, de lécher, de titiller, de mordiller la poitrine de cette experte en branlette, elle écarte ses jambes à ma demande. Et là apparaissent deux magnifiques lèvres luisantes, débordant de son sexe. Elles luisent, longues, collées l’une à l’autre par sa liqueur. Un simple doigt permet de les séparer pour montrer un sexe totalement ouvert. Son clitoris est déjà très gonflé. Chacun branle l’autre, les yeux dans les yeux et la règle implicite interdit de rompre ce lien. La tension monte, l’excitation entraîne des battements cardiaques que les derniers collaborateurs présents doivent forcément entendre. Ses pupilles s’ouvrent, se concentrent et partent parfois loin, elle retient cette main enfoncée en elle, serre ma queue de plus en plus fort, se mord les lèvres, place sa main libre devant sa bouche pour faire taire cette respiration affolée puis finalement se laisse porter pour partir au milieu des contractions de son corps. Elle retombe sur moi, corps chaud et apaisé. Moment de partage, de caresses, de baisers apaisés, de réconfort après cet affrontement, les oreilles aux aguets d’un potentiel bruit dans l’escalier.
Elle se redresse, retrouve ses habits jetés dans la salle. Sa main s’empare de son téléphone.
- « Excuse-moi, il faut que j’envoie un message à mon mari. »
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par LeCouple
#2825423
@Larcet
Diantre nous avions raté ce topic....

Mais où est la suite..???
Larcet a liké
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par LeCouple
#2825486
@Larcet
De nombreux lecteurs en attente
par Larcet
#2825491
Deux corps nus, face à face ; elle, debout, son téléphone à la main, texto en cours de rédaction pour son mari, nerveuse ou plutôt excitée en pianotant, délicieusement belle, les cheveux emmêlés. Moi, le sang continuant de pulser bruyamment, nu dans un fauteuil. Vivant ; oui, vivant ; sensation de ne jamais avoir été aussi vivant ; encore incrédule de ce qui vient de se passer.
Elle repose son téléphone, satisfaite, puis cherche mon regard.
-« Je dois répondre à mon mari régulièrement sinon, c’est des histoires à n’en plus finir. Je dois gérer notre organisation familiale. Vraiment désolée. »
Toujours ses yeux magnifiques remplis de bonheur ; impossible de leur échapper. Elle s’approche et vient se nicher contre moi, assise sur mes genoux. Des caresses, de tendres moments, mes bras autour de sa taille fine et de ses épaules ; de rares mots échangés dans le creux de l’épaule de l’autre. Paroles presque inutiles ; les corps ont parlé et ont besoin de se taire pour faire retomber cette tension. Ne pas trop parler, ne pas rompre le charme. Moments hors du temps, ponctués de baisers déposés sur les joues, les épaules, le torse de l’autre pour continuer de découvrir ce nouveau corps, le sentir encore, le goûter à nouveau. Douceur de la peau, fermeté des chairs, souplesse des corps qui se livrent nus, offerts pour cette première rencontre. Mes mains qui parcourent ses jambes, frôlent l’arrondi des hanches pour venir se poser sur sa taille. Tendresse et curiosité de la nouveauté. Paume de la main protectrice, posée sur son sein, menu, couronné d’un disque sombre et d’une pointe ferme. Autre main immobile qu’elle a autorisée à venir se reposer dans la douceur de ses cuisses resserrées. Ma tête embrumée au milieu de son parfum. Vivant, oui vivant ! Ses cheveux fous dans sa nuque brillent à la lueur des éclairages extérieurs. Ses mains parcourent lentement mon torse, frôlent ma nuque et terminent leur chemin dans mes cheveux. Le silence. Immobiles. Défi lancé au temps pour qu’il ne se remette pas en route.
Qui ? Oui, qui ? Qui a relancé ensuite la tension entre nous ? Ma main qui est venue toucher délicatement ses joues puis ses lèvres pour leur demander de s’ouvrir ? Non, cela ne suffit pas. Sa main qui a serpenté le long de mon torse pour finir sur ma joue ? Non plus. Mon autre main en effleurant l’intérieur de ses cuisses le plus légèrement et le plus lentement possible, quitte à parfois perdre le contact avec sa peau ? Innocente cette main, innocente ! Son autre main qui remontait ostensiblement le long de mes cuisses pour s’approcher de mon sexe ? Insuffisant, nettement insuffisant. Sa bouche posée à quelques centimètres de mon oreille qui méthodiquement chuchote lentement « J’ai envie de toi ! » ? Coupable, coupable !!!

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