©FORUM CANDAU - N'oubliez pas de liker !
Présentation des couples candaulistes et fils persos: Ici tous les membres de notre forum cando (couples candaulistes, femmes cocufieuses et aussi hommes seuls) sont invités à se présenter à toute la communauté du forum. C'est impératif pour pouvoir poster ensuite.

Chaque nouveau membre est donc en couleur bleue claire tant qu'il ne s'est pas présenté, et il ne peut donc pas créer d'autre sujet qu'une présentation. Plus de détail ici pour les nouveaux

Si la présentation est validée par les modérateurs ou @stephane (c'est à dire en bonne et due forme, avec quelques détails), le nouvel inscrit passera en couleur orange et aura accès à tout le forum.

Alors n'attendez plus pour vous présenter à la plus grande communauté candauliste francophone (ou souhaiter la bienvenue aux nouveaux couples candaulistes inscrits, ils sont plus d'une vingtaine chaque jour).
  • 1
  • 28
  • 29
  • 30
  • 31
  • 32
#2823794
A peine arrivée chez elle, elle fit tomber la robe à ses pieds : nue elle était, ni slip ni soutif ! Elle me fit tomber le pantalon et le reste, puis saisissant d’une main mon organe reproducteur, elle m’attira à elle en m’attrapant les testicules de l’autre. «Je suis bourrée, mais maintenant c’est toi qui va me bourrer, baise-moi mon chéri, maintenant, prends-moi par terre, viole-moi, je le veux, c’est mon fantasme.. » Elle me comprimait les boules à tel point qu’elle me fit mal et je le lui dis. « C’est bien fait, je veux te faire mal en te les écrasant pour en faire sortir le jus.. » « Mais c’est toi qui me viole ! » lui dis-je. Attrapant ma queue elle la fourra d’autorité dans sa fente et, tirant sur mes couilles, elle me fit pénétrer dans son ventre. « Doucement » lui dis-je « Je veux que tu me prennes à la hussarde comme un violeur inconnu, que tu me perces avec ton sexe, je veux te sentir tout au fond, cogner contre ma petite bouche ».
Voulant lui parler d’Ali elle me mit le doigt sur les lèvres : « on ne parle pas de lui , compris ? » « Mais pourquoi » lui demandais-je. Elle me répondit que c’était son nouveau jardin secret. Fallait donc pas insister . Elle jouit rapidement en lançant comme à l’accoutumée une jambe en l’air, tout en poussant un fort glapissement. « Baise-moi plus fort, bourre moi, je veux que tu prennes ton plaisir, tire dans mon ventre la semence que j’ai fait sortir de tes couilles » Et sur ces belle paroles, elle me fit venir, je tirai longuement tout ce que je pus, en gueulant de plaisir. « C’est toi que j’aime » me dit-elle, « tu me baises mieux que les autres, même si tu n’as pas la plus épaisse ni la plus longue, ce dont je me fous ». Nous roulâmes sur le côté, elle sur moi, ses seins dans ma figure. J’attrapai ses tétons avec les dents, elle me laissa faire tout en saisissant ma queue mollissante qu’elle branla avec vigueur. Le poids de son corps sur le mien, ses seins répandus sur ma figure, ses cuisses entremêlées aux miennes m’excita, elle me fit raidir rapidement puis saisissant sa proie, elle la fourra dans sa chatte, et pendant que je la pénétrais elle me comprima à nouveau les boules ; « j’en veux encore de ta semence, tu sens comme je mouille ? C’est parce que tu es le seul à m’exciter comme ça ! » me dit-elle. « Menteuse » lui dis-je ! « M’enfin ! même P.. ne me fait pas mouiller comme toi ».. « Et Ali » demandais-je.. Elle me fit « Chuuut » tout en accélérant le trot pour passer au galop ! Pour la punir j’attrapai ses tétons que je tirai violemment en secouant ses seins : elle grimaça de douleur et me demanda d’arrêter. « J’arrêterai quand tu me diras comment Ali t‘as baisée ».. Elle répondit qu’il la baisée comme vous autres mais la différence c’est que la nature l’a nanti d’une grosse queue.. « Tu comprends, quand je l ‘ai senti me pénétrer j’ai su que j’allais jouir très vite » dit-elle en forçant son galop sur ma queue.. Le souvenir d’Ali fit qu’elle se mit à jouir brutalement, sans retenue, en rejetant la tête en arrière. A mon tour je me lâchai mais je n’avais plus grand chose à tirer et elle s’en aperçut. Alors épuisée elle s’endormit. Lui couvrant de la couette son corps nu, chaud et rosi par l’action et l’émotion, j’en profitai pour lever le camp, Victoire m’attendant pour aller chez des amis. « Et alors ces retrouvailles ? » me demanda Victoire.. « Voraces et imbibées.. » lui ai-je répondu.

JOURNAL
Samedi 30 octobre
Je le savais qu’il me voulait, alors je l’ai fait poiroter, c’est bien fait pour lui. Il n’avait qu’à pas m’abandonner. J’ai couché avec Ali. Je lui ai dit que ça ne le regardait pas, et je crois bien qu’il était excité et jaloux hi hi !
Quand Ali est retourné chez lui, P.. s’est occupé de moi, je n’ai pas appelé D.. En attendant, il n’a qu’à s’occuper de Victoire ..

Samedi 6 novembre
Il ne m’a même pas laissé un msg. Il doit bouder !

Lundi 8
Plus la patience d’attendre , je l’ai appelé : il était tout content ! Il ne boudait pas, au contraire, il m’a invité chez mon écailler favori. On se voit demain, c’est l’été indien il va faire beau temps, il fait exceptionnellement doux pour la saison, on annonce 24 degrés !

Mercredi 10
Je m’étais maquillée, mis ma robe rouge, légère, assez courte, sans soutif ni slip, j’aime bien l’exciter..
Il ne paraissait pas me reconnaître. J’avais un peu forcé sur le pinard pour me donner du courage. Je peux dire en toute modestie que mon arrivée n’est pas passée inaperçue ! Des clients attablés me complimentaient !. Je me suis assise face à mon chéri sur ses genoux, écartant les cuisses pour qu’il voit que je n’avais pas mis de culotte, et on s’est embrassés, je lui ai mis du rouge à lèvres sur la figure. Le plateau de fruits de mer est arrivé, on a bien mangé et beaucoup bu, ça fait que j’étais pompette et je riais beaucoup et trop fort, me disait mon chéri.. «Lison, tiens-toi bien, tout le monde te regarde!» Mais j’avais pas envie, je voulais m’amuser.
Quand on a eu fini, on s’est levés, il y avait de l’ambiance, y’en avait qui me disaient des trucs salaces, alors j’ai tiré la langue, et en pouffant j’ai soulevé ma robe et montré mes fesses. Ils ont crié bravo en applaudissant. D.. m’a bien vite fait sortir, disant que j’allais provoquer une émeute, il était gêné !
Chez moi, j’ai laissé tomber ma robe par terre, je l’ai déshabillé. Je le voulais en moi tout de suite, sauvagement. Lui avait envie d’une sieste. Je lui ai saisi la queue pour lui montrer ce que je voulais. Et alors ça a été comme toujours : on l’a fait et bien fait. J’ai bien joui, lui aussi. J’avais encore envie, alors je l’ai branlé fort pour qu’il revienne. Il m’a reprise avec vigueur. Il voulait que je lui dise comment c’était avec Ali, je voyais bien que ça le travaillait car il s’était mis à bander dur! J’ai dit que c’était mon jardin secret, et il a pas été content! Pour me punir il ma pincé et tiré les tétons, ça m’a fait mal, il voulait que je raconte. Alors j’ai seulement dit qu’il me remplissait bien avec sa grosse queue.. En repensant à Ali mon orgasme est venu d’un coup très fort. Mon chéri a suivi mais il n’avait plus grand chose dans les couilles! Je lui raconterai Ali une autre fois puisque ça a l’air de l’exciter bien fort. Je me suis endormie et lui, il a été retrouver Victoire.
#2823828
@trestigres la puissance résultant de l'imagination, de la jalousie, de l'excitation et de l'amour, notamment chez les femmes, est incommensurable. Et Lison en apporte une preuve magistrale.
Tu l'avais délaissée, elle a voulu te punir et s'est perdue dans les bras et au bout des queues tendues de P et de Ali.
Elle voulait te faire attendre en te morfondant, elle a craqué la première car elle t'aime passionnément et ne peut rester longtemps éloignée de toi.
L'intensité inouïe de son désir, cette envie d'être prise à la hussarde, presque violée donnent à ces retrouvailles une puissance presqu'animale. Et l'alcool décuple les effets de l'excitation/jalousie/amour.
Lison, fine mouche, sait que la dimension des organes intimes de P et de Ali te travaille, te rend jaloux, 'intimide, t'insécurise. Elle en joue, elle s'en amuse. Mais pas par méchanceté, car elle est d'un naturel bon ; mais pour que tu lui fasses l'amour encore mieux, encore plus fort. Et ça fonctionne 0=)
Quelles belles photos, si pleines de vie, d'amour, de passion, de joie.
#2823890
Dionysos06 a écrit :@trestigres la puissance résultant de l'imagination, de la jalousie, de l'excitation et de l'amour, notamment chez les femmes, est incommensurable. Et Lison en apporte une preuve magistrale.
Tu l'avais délaissée, elle a voulu te punir et s'est perdue dans les bras et au bout des queues tendues de P et de Ali.
Elle voulait te faire attendre en te morfondant, elle a craqué la première car elle t'aime passionnément et ne peut rester longtemps éloignée de toi.
L'intensité inouïe de son désir, cette envie d'être prise à la hussarde, presque violée donnent à ces retrouvailles une puissance presqu'animale. Et l'alcool décuple les effets de l'excitation/jalousie/amour.
Lison, fine mouche, sait que la dimension des organes intimes de P et de Ali te travaille, te rend jaloux, 'intimide, t'insécurise. Elle en joue, elle s'en amuse. Mais pas par méchanceté, car elle est d'un naturel bon ; mais pour que tu lui fasses l'amour encore mieux, encore plus fort. Et ça fonctionne 0=)
Quelles belles photos, si pleines de vie, d'amour, de passion, de joie.


Merci cher ami, tu as une fois encore parfaitement démontré avec subtilité comment fonctionne la psychologie féminine. Victoire vient encore de m’en donner une preuve en me faisant ce matin une crise de jalousie à posteriori après avoir lu mon post ! J’avoue ne pas lui avoir demandé son imprimatur, il était tard et elle dormait lorsque j’ai posté ce billet.
La nature a horreur du vide (Spinoza) et Lison craignait de se retrouver seule, dans un lit vide! Alors elle jouait sur tous les registres de sa féminité, de son sex appeal, agrémentés de ses fantasmes pour attirer les uns en tentant de rendre l’autre jaloux – moi en l’occurrence – mais sans jamais être garce, c’est vrai, elle possédait un bon naturel. Il faut dire que quand elle se donnait, elle le faisait à fond, clamant son plaisir et sa jouissance haut et fort, ce qui excitait d’autant mieux son partenaire, j’en sais quelque chose. Seul Ali la faisait taire m’a-t-elle dit, il n’appréciait pas qu’une femme manifeste haut et fort sa jouissance, ce devait être culturel, alors il lui claquait les fesses pour qu’elle se taise ce qui provoquait l’effet inverse !
Je suis ravi que le reportage photographique t’ai plu, les photos sont extraites des nombreuses vidéos de nos parties de jambes en l’air, raison pour laquelle elles ne sont pas d’une qualité irréprochables, mais le sens du jeu érotique s’y trouve !
A bientôt pour la suite..
#2823891
Toto44 a écrit :@trestigres

J'avais raté votre retour, et quel retour !

Votre prose et votre histoire sont de vrais bonbons à déguster.
Merci.


Ne ratez pas les suivant alors! Il y a encore de nombreux bonbons..
#2823996
frenchy a écrit :Bin , je dois dire que j'y ai pris grand plaisir de lire cette suite bien chaude et croustillante :D
du coup j'attends que la page blanche suivante soit écrite @trestigres


Merci et ravi que vous y ayez pris du plaisir.
Elles sont écrites depuis longtemps ces pages, ainsi que son journal. Il ne reste qu'à les illustrer. patience..
frenchy a liké
#2824046
Michel3132 a écrit :J'espere que votre femme se porte bien aujourd hui, vous aussi du reste, se montre elle toujours aguichante envers vous?


Merci de vous soucier de notre santé! Je vais bien malgré mon âge avancé, elle moins.. beaucoup de bobos divers et variés, certains préoccupant . Aguichante oui parfois, mais pour elle, c'est "game over" hélas.. Quant à notre partenaire de jeux, Lison, elle n'est plus..
Il nous reste les souvenirs de cette époque bénie où tout était possible..
#2824081
Michel3132 a écrit :oui pour Lison je savais c'est pour cela que je n'en ai pas parlé, une femme malgré son age peu rester attirante


Victoire reste attirante surtout qu'elle a une peau d'une très grande douceur, sans marques et rides de la vieillesse. Par contre elle est devenue un peu rondelette et un régime pourtant sévère ne lui fait guère perdre de poids. Mais je m'en accomode fort bien.
Lison nous manque et il ne se passe pas un jour sans que je pense à elle, enfin surtout moi.
#2824127
Elle était une femme spontanée et libre. Un rayon de soleil qui ne baissait jamais les bras malgré les difficultés. Elle voyait la vie du bon côté, c'était sa plus grande qualité ! Elle aimait la vie et la joie , et savait profiter de chaque instant comme si ce fut le dernier.
#2824326
Journal
Lundi 6 décembre
Tout en faisant l’amour hier, il a dit qu’il va me faire un cadeau pour la Noël. «Devine». J’ai dit «Tu vas me faire un enfant, c’est ça?» Mais forcément c’était pas ça: il allait s’arranger pour qu’on passe les fêtes ensemble. Bien sûr un enfant c’est ce que j’aurais voulu mais bon, c’est un peu tard, on a manqué des occasions quand j’avais 26 ans, lui aurait aimé m’en faire un et moi idiote, déjà coincée avec mon futur mari, j’ai pas voulu me donner à lui. Maintenant c’est moi qui voudrait et lui plus, il dit qu’il est trop vieux et moi une vieille caramelle !
Il a été très gentil, il a dit qu’on allait jouer comme si on allait en faire un. Il sait que ça me grise, il le fait pour me faire plaisir, parce que lui.... Qui sait si ça marcherait? Y a des nuits où je rêve que j’ai un gros ventre… j’ai du ventre mais pas de bébé dedans!
froggy69, hixxos, musset et 9 autres a liké
#2824429
@trestigres qu'elle était belle, spontanée, naturelle, sensuelle, passionnée et fragile à la fois Lison. Un frêle et incandescent rayon de soleil qui a caressé ta vie et l'a enrichie. Entre Victoire et elle, tu avais trouvé ton équilibre, cette position médiane parfaire où tous les bonheurs et toutes les joies convergent. Tu étais un bigame officieux, mais ô combien réel. Quel amour immense vous vous portiez. Mais hélas (ou pas ?), pour ce qui est d'un enfant, à contre-temps. L'histoire ne repasse jamais les plats ; donc tu ne sauras jamais ce qu'il sera advenu si tu avais été père avec Lison. Peut-être c'eût été trop pour Victoire qui y aurait vu une atteinte insupportable à ses privilèges de mère et d'épouse ? Qu'il est triste de voir de si belles personnes nous quitter.
Erik74910, trestigres, Toto44 et 1 autres a liké
#2828576
Les fêtes arrivaient, nous les passions traditionnellement à la campagne avec les enfants devenus adultes. J’aurais aimé avoir pour moi mes deux femmes pour Noël et Nouvel An mais comment faire avec la famille ? J’envisageais de rejouer le scénario avec P.. et Lison qui avait si bien fonctionné dans le temps. Ce fut inutile car la chance me sourit : l’aîné avait loué un chalet à la montagne et avait entraîné ses sœurs avec lui ! Ils étaient désolés de nous laisser seuls !...
J’en parlai à Victoire qui me dit que cette année elle n’irait pas à la Barbade puisque les enfants allaient à la montagne. Je lui proposai d’inviter Lison.. « OK je veux bien mais sans P.. , seulement nous trois !» me dit-elle. J’étais aux anges ! « Mais tu m’en laisseras un peu tout de même ? » me demanda-t-elle. Je laissai le soin à Victoire d’appeler Lison pour lui proposer de passer les fêtes ensemble. Elle fut ravie de ne pas rester seule chez elle, ses beaux enfants étant absents. Mais elle viendrait avec son chien.
Le temps était à la neige, nous aurions un séjour blanc, les femmes étaient ravies.
Sans façon nous nous installâmes dans la grande chambre, c’était évident ! Le grand lit nous accueillerait tous les trois.
Il s’était mis à neiger. Après un dîner bien arrosé au coin du feu, les deux filles s’étant rapprochées sur le divan, des gestes de tendresse et de sensualité furent échangés. Les laissant s’occuper l’une de l’autre j’allai mettre de l’ordre en cuisine. A mon retour elles étaient dénudées, couchées sur une peau d’ours épaisse devant l’âtre où brûlait un feu d’enfer. La lueur des flammes se reflétait sur leurs corps nus enlacés, les rendant particulièrement érotiques. Je ne pus m’empêcher de les mater longuement : ces paires de seins, de fesses, ces cuisses enlacées.. Que faire sinon me joindre à elles dans le même dénudement ! M’allongeant sur la fourrure du plantigrade, nous nous enlaçâmes tous les trois, la queue dressée et les boules furent saisies par l’une tandis que l’autre m’en suçait le gland. Je fouillai délicatement leur fente avec fébrilité. C’était le bonheur! Lison soudain se dégagea, et couchée sur le dos, les cuisses ouvertes, elle me revendiqua un cunni en gémissant. Victoire se mit à lui sucer les tétons. Ça ne dura guère: Lison, après une période de silence que je connais bien annonçant la montée de l’orgasme, explosa brusquement en dressant les jambes en l’air. Je m’activai d’autant plus sur son clitoris mais elle hurla que c’était trop fort et repoussa ma tête avec violence. Son chien qui suivait les opérations avec inquiétude se mis à aboyer et voulu m’attaquer ! Que faisait-on à sa maman pensait-il ? Victoire la prit dans ses bras pour la calmer ; elles s’embrassèrent en se caressant. Des chuchotements furent échangés entre elles. Quelque temps plus tard Lison clama: « maintenant enfonce-toi dans ma chatte, défonce-moi devant ta femme, elle veut te voir entrer en moi » dit-elle en s’allongeant sur le ventre en écartant fortement les cuisses.. Victoire, d’une main ferme me saisit la queue qu’elle dirigea vers l’endroit requit. Elle l’enfonça – avec mon aide, sans coup férir et sans résistance – dans ce vagin qui la réclamait avec ardeur !
Lison s’étant mise sur le ventre, posa la tête entre les cuisses de Victoire. Pénétrée avec violence, m’enfonçant jusqu’à écraser le gland contre sa « petite bouche », je la défonçai à coups de queue si violents qu’en repoussant son corps sa tête vint à heurter l’entre jambe de Victoire. De ses doigts Lison lui écarta les lèvres, et se mit à lui faire un cunni, vite interrompu lorsqu’un orgasme la ravagea avec des répliques tonitruantes. Sa jouissance m’ayant fait raidir encore plus fort, je l’ai bourrée de toutes mes forces sous les yeux excités de Victoire qui, s’étant rapprochée, voyait pour la première fois en gros plan la queue de son chéri engagée dans un va et vient d’enfer, produisant un bruit de succion provoqué par un déferlement de cyprine.
La sensation des testicules saisies et comprimées par Victoire, alors que j’étais au plus profond du ventre de Lison, me fit jouir brutalement : je me vidais à n’en plus finir tout au fond de son ventre. Epuisée, incapable de tenir debout, je dus prendre Lison dans mes bras pour la déposer sur le grand lit. Victoire s’employa à lui assécher les écoulements de son vagin pour ne pas souiller le drap puis se colla en petite cuillère à son dos pendant que je tentai de pénétrer Victoire par derrière, sans pour autant y arriver par manque de raideur. Ainsi nous nous endormîmes tels quels, épuisés..
Le matin était blanc : il avait neigé toute la nuit,. Victoire toujours active avait déjà préparé le café. Lison, profondément endormie, se laissait caresser les seins et la fente en gémissant doucement ; soudain l’odeur du café lui fit ouvrir l’œil, elle sourit, se redressa en montrant ses seins magnifiques et saisissant d’une main la tasse fumante que Victoire lui tendait, de l’autre elle repoussa un membre déjà bien dur si tôt matin. Elle m’en fit la remarque en pouffant ! : « mais dîîîs ! laisse-moi au moins boire mon café, on pourra le faire après si tu veux ». Mais je ne voulais pas de sexe ce matin lui ai-je dit , « nous allons faire une ballade à skis de randonnée, profiter de la neige »..
Victoire était partante, mais Lison, pas très sportive à part pour l’équitation et le surf décida de rester au lit et de cocooner, prendre une douche, préparer le repas.. Ok, très bien !
La ballade à ski dans la forêt enneigée nous revigora. Revenus chez nous, Lison avait rallumé le feu dans l’âtre, préparé l’apéro et le repas. Après s’être lavé les cheveux, elle avait ceint une sorte de turban sur la tête, enfilé une nuisette courte, assez transparente. Au pieds elle avait chaussé des espèces des sabots de bois et cuir, mode scandinave.. Je ne résistai pas à lui soulever la nuisette pour découvrir qu’elle ne portait rien dessous. « Mais arrêêête ! t’as pas honte ? Si j’ouvrais ton pantalon pour pour montrer ce que tu as entre les jambes, tu dirais quoi? ». Je lui répondis que j’aimerais beaucoup, quant à elle, fallait pas enfiler une tenue provocante si elle ne voulait pas qu’on voit le moteur ! L’après midi se passa au lit avec Lison, Victoire ayant préféré lire dans son coin. « Tu es heureux avec tes deux femmes ? » me demanda-t-elle. Elle m’expliqua que pour elle, puisqu’elle ne pouvait pas m’avoir pour elle seule – ce qui aurait été l’idéal- elle se satisferait d’une existence à trois. Elle projetait des plans, elle vendrait sa maison, sa voiture aussi pour habiter tous ensemble.. Elle serait la gardienne de la maison quand je désirerais partir en voyage en avion avec Victoire.. Elle rêvait ! Je la laissai rêver, elle était si heureuse ! Couchée sur le côté, la tête appuyée sur le coude, elle me caressait la hampe et jouait avec ce qui lui tombait sous la main. Comme elle remarqua que je commençais à la lui mouiller, elle se mis à genoux et le pris dans la bouche, s’activant sur le gland. J’attaquai sa fente pendant qu’elle me suçait, trifouillant sa vulve, agaçant son clitoris. Son rythme respiratoire s’accéléra, je sentais qu’elle allait être mûre pour être pénétrée. Soudain roulant sur le dos, relevant les cuisses contre son torse, elle me présenta sa fente ouverte, rouge carmin, détrempée et me dit « alors viens, je te veux tout de suite, enfonce-toi dans mon ventre ». Il ne fallu pas me le dire deux fois : le vagin entr’ouvert, dégoulinant de cyprine ne résista pas lorsque je présentai mon gland à l’entrée, il fut englouti comme le reste. Des aller retour vigoureux eurent rapidement raison de ma résistance : je dû temporiser sous peine de tout lâcher. « Oooh non, continue, je veux encore… » dit-elle dans un souffle. Je lui expliquai la situation et nous restâmes sans bouger afin de calmer mes ardeurs. Cependant Lison n’arrivait pas à se maintenir tranquille : son bassin bougeait en un lent va et vient qui se communiquait à son vagin. Sentant ce léger mouvement de faible amplitude sur la paroi de mon membre je commençai à craquer lorsqu’elle activa ses muscles pelviens qui le comprimèrent, je ne pus résister plus longtemps et lâchai tout : je giclai au fond, inondant sa « petite bouche » sans qu’elle ait pu jouir à son tour. « Ça ne fait rien mon amour, c’était bon quand même, on recommencera plus tard ». Mais j’éprouve toujours un sentiment de frustration quand je n’arrive pas à la mener jusqu’à l’orgasme. « C’est du travail mal fait » lui dis-je.. Alors elle se moqua de moi : « m’enfin arrête, qu’est-ce que tu racontes, c’est pas du travail, c’est du plaisir ! C’est pas parce que je n’ai pas joui que je n’ai pas eu bon, arrête avec tes c….neries, j’adore sentir ta queue dans mon ventre et recevoir ta semence, orgasme ou pas ! »
Sur ces entrefaits Victoire poussa la porte de la chambre, nous découvrant nus tous les deux sur la peau d’ours. « J’arrive trop tard à ce que je vois ! » dit-elle en s’allongeant au côté de Lison tout en lui saisissant un sein d’une main, l’autre allant explorer sa fente. « Diable, ça dégouline, qu’est-ce qu’il t’a mis ! » lui dit-elle en commençant à se laisser déshabiller. Ainsi elles furent nues toutes les deux. Je m’éclipsai pour prendre une douche, en les laissant se faire plaisir. Puis, entendant qu’elles se faisaient du bien, je suis sorti, chaussé mes skis et suis parti en ballade. A mon retour, il faisait presque nuit, aucune lumière derrière les fenêtres.. Le matos rangé j’allai voir de quoi il retournait. Personne sur la peau d’ours.. Poussant le battant de porte de la chambre, elles dormaient sur le lit en désordre, collées l’une à l’autre.
Je décidai de les laisser se réveiller en douceur et allai m’occuper de faire du feu et mettre la table pour le repas de Noël. Soudain une Lison à moitié nue apparut au bas de l’escalier « Ah tu es rentré, laisse-moi faire, je m’occupe de tout ». Elle était désirable à peine couverte par cette nuisette transparente, je ne résistai pas. La saisissant par la taille je l’allongeai sur la peau d’ours et, relevant la mince mousseline qui la voilait à peine, je m’apprêtais à m’enfoncer en elle. « M’enfin tu recommence ? mais arrêêête, t’es insatiable, pas maintenant je veux aller préparer le repas, et Victoire va venir… » Je la voulais là, tout de suite.. « Bon, mais alors vite fait hein ! » Ce fut vite et bien : cette fois je la fis jouir !
Victoire apparu à son tour.. « il est temps de s’occuper du dîner de Noël, on arrête de jouer, rhabillez-vous ». Je notai une pointe d’énervement chez Victoire, il faudra que je m’occupe d’elle cette nuit.
Le dîner de Noël fut exquis, très arrosé ce qui perturba la suite de la soirée car les deux filles étaient rondes, bien plus que moi. Elles se retrouvèrent par terre sur la peau d’ours où elles se mirent à chanter des chansons cochonnes à tue-tête ! Je mis fin à la récréation en les obligeant à monter se coucher. Je les déshabillai tant bien que mal, elles s’endormirent aussitôt ! Cette nuit-là je fis chambre à part mais au petit matin Victoire m’avait rejoint. Alors nous nous aimâmes comme au premier jour. Victoire me confessa que si elle aime être baisée par P.. c’est avec moi qu’elle a le plus de plaisir, « on fait vraiment l’amour toi et moi tandis qu’avec P.. l’amour est absent même si j’ai été amoureuse de lui ».
Il se faisait tard, elles dormaient toujours, chacune dans une chambre. Après un café, je chaussai mes skis et filai dans les bois. A mon retour vers midi, j’entendis des bruits d’eau. Je les trouvai toutes les deux dans la baignoire, de très bonne humeur, devisant avec vivacité, Lison très occupée à raser la foufoune de Victoire avec mon blaireau et mon rasoir ! A leur sortie je les ai emballées dans de grandes serviettes, direction la chambre. Emballées, elles se jetèrent sur le lit. « Habillez-vous les filles, on va se balader » leur dis-je. Pas de réaction ! Lison, toujours coquine, entr’ouvrit la serviette, montrant ses cuisses. « Tu dois d’abord me faire un petit câlin.. » dit-elle avec un sourire aguicheur auquel je n’ai jamais pu résister. Ce que voyant, Victoire se leva d’un bond, et nue, déclara qu’elle allait préparer à manger. Le corps chaud et humide de Lison émergea de la serviette, ce fut irrésistible. Je me mis à mordiller ses tétons, une main sur son mont de Vénus; elle agita les cuisses, signe que l’excitation montait. Elle m’aida à me déshabiller. Ouvrant largement les jambes, elle m’accueillit : « et si on jouait à le faire, cet enfant ? » Je me jetai sur elle et la pénétrai avec avidité et frénésie. « Oh oui j’aime bien quand tu me baise comme ça, je veux sentir ta semence gicler au fond de mon ventre. Elle eut un orgasme rapide et violent ; je ne résistai pas plus, tirant ce qui me restait de sperme au plus profond. « Je crois que cette fois, si j’avais encore eu des oeufs tu me l’aurais fait » me dit-elle en m’embrassant..
Victoire apporta une bouteille de vin et une quiche réchauffée que nous dégustâmes à trois sur le lit. Tout en grignotant, Lison nuisette relevée à la taille, les cuisses écartées, sa fente béait de façon indécente, laissant couler sur le drap des gouttes de miasmes que Victoire observait avec intérêt. « Sers les jambes Lison, tu es indécente» lui dis-je, mais Victoire intervint en disant qu’elle n’y trouvait aucune indécence, c’était naturel, qu’au contraire elle admirait son sexe épilé!.. Lison me tira la langue, serra les cuisses en rabattit sa nuisette. « Tu vois » s’adressant à moi tout en relevant la chemise de Victoire « elle voulait un sexe lisse, et c’est fait ! Ça te plaît comme ça ? ».. Victoire fit un sourire un peu gêné tout en passant les doigts sur ses grandes lèvres et son pubis talquées de frais.
Une longue ballade dans la neige nous aéra et fit disparaître les derniers stigmates des excès de la veille. Lison, imprudemment avait détaché la laisse de son chien. Il se baladait en bordure de forêt lorsque soudain il disparut dans les fourrés. Rendu sourd par l’âge, elle eut beau l’appeler il ne revint pas. Plusieurs heures durant nous avons recherché l’animal sans succès. Ce fut le drame ! La nuit tombait, la mort dans l’âme il fallut abandonner les recherches. Vers minuit, par pleine lune, j’emmenai Lison dans la neige sur les lieux de la disparition de l’animal, espérant le retrouver. Mais ce fut sans succès. Ni le lendemain. Elle était inconsolable. Avis de recherche fut déposé à la police locale, les gardes chasses furent avertis.
Le séjour fut écourté. Lison se cloîtra chez elle. Je me consacrai pleinement à Victoire et au voyage en Argentine que je préparais. Deux semaines passèrent, Lison m’appelait tous les jours pour savoir si j’avais des nouvelles. Elle ne voulait voir personne, ni P.. ni moi, et de sexe il n’en était pas question..
Un soir je reçu un appel téléphonique d’une personne qui me disait qu’un garde de chasse que je connaissais l’avait averti avoir recueilli un chien de race Jack Russell, précisément dans la zone où il avait disparu. J’appelai Lison qui ne répondit pas. Je décidai de me rendre sur place immédiatement : il s’agissait bien de son chien, fort affaibli mais vivant ! Je le ramenai chez Lison qui, m’ouvrant la porte et découvrant son chien dans mes bras, faillit tomber dans les pommes !
J’étais le messie ! Je les laissai à leurs retrouvailles.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
DANA, nacra29, frenchy et 1 autres a liké
#2828595
@trestigres , c'est vraiment incroyable comment il m'a été agréable de suivre cette histoire avec vous trois. Sa sent carrément ce que tu as vécu et vous avez vécu tout les trois. C'est divinement raconté . Sincèrement une merveille bien délicieuse ce récit :D bravo bravo bravo et vivement une autre histoire de ce bout de vie <3
  • 1
  • 28
  • 29
  • 30
  • 31
  • 32

Notre boutique candauliste 100% sécurisée