- 13 sept. 2024, 01:20
#2823794
A peine arrivée chez elle, elle fit tomber la robe à ses pieds : nue elle était, ni slip ni soutif ! Elle me fit tomber le pantalon et le reste, puis saisissant d’une main mon organe reproducteur, elle m’attira à elle en m’attrapant les testicules de l’autre. «Je suis bourrée, mais maintenant c’est toi qui va me bourrer, baise-moi mon chéri, maintenant, prends-moi par terre, viole-moi, je le veux, c’est mon fantasme.. » Elle me comprimait les boules à tel point qu’elle me fit mal et je le lui dis. « C’est bien fait, je veux te faire mal en te les écrasant pour en faire sortir le jus.. » « Mais c’est toi qui me viole ! » lui dis-je. Attrapant ma queue elle la fourra d’autorité dans sa fente et, tirant sur mes couilles, elle me fit pénétrer dans son ventre. « Doucement » lui dis-je « Je veux que tu me prennes à la hussarde comme un violeur inconnu, que tu me perces avec ton sexe, je veux te sentir tout au fond, cogner contre ma petite bouche ».
Voulant lui parler d’Ali elle me mit le doigt sur les lèvres : « on ne parle pas de lui , compris ? » « Mais pourquoi » lui demandais-je. Elle me répondit que c’était son nouveau jardin secret. Fallait donc pas insister . Elle jouit rapidement en lançant comme à l’accoutumée une jambe en l’air, tout en poussant un fort glapissement. « Baise-moi plus fort, bourre moi, je veux que tu prennes ton plaisir, tire dans mon ventre la semence que j’ai fait sortir de tes couilles » Et sur ces belle paroles, elle me fit venir, je tirai longuement tout ce que je pus, en gueulant de plaisir. « C’est toi que j’aime » me dit-elle, « tu me baises mieux que les autres, même si tu n’as pas la plus épaisse ni la plus longue, ce dont je me fous ». Nous roulâmes sur le côté, elle sur moi, ses seins dans ma figure. J’attrapai ses tétons avec les dents, elle me laissa faire tout en saisissant ma queue mollissante qu’elle branla avec vigueur. Le poids de son corps sur le mien, ses seins répandus sur ma figure, ses cuisses entremêlées aux miennes m’excita, elle me fit raidir rapidement puis saisissant sa proie, elle la fourra dans sa chatte, et pendant que je la pénétrais elle me comprima à nouveau les boules ; « j’en veux encore de ta semence, tu sens comme je mouille ? C’est parce que tu es le seul à m’exciter comme ça ! » me dit-elle. « Menteuse » lui dis-je ! « M’enfin ! même P.. ne me fait pas mouiller comme toi ».. « Et Ali » demandais-je.. Elle me fit « Chuuut » tout en accélérant le trot pour passer au galop ! Pour la punir j’attrapai ses tétons que je tirai violemment en secouant ses seins : elle grimaça de douleur et me demanda d’arrêter. « J’arrêterai quand tu me diras comment Ali t‘as baisée ».. Elle répondit qu’il la baisée comme vous autres mais la différence c’est que la nature l’a nanti d’une grosse queue.. « Tu comprends, quand je l ‘ai senti me pénétrer j’ai su que j’allais jouir très vite » dit-elle en forçant son galop sur ma queue.. Le souvenir d’Ali fit qu’elle se mit à jouir brutalement, sans retenue, en rejetant la tête en arrière. A mon tour je me lâchai mais je n’avais plus grand chose à tirer et elle s’en aperçut. Alors épuisée elle s’endormit. Lui couvrant de la couette son corps nu, chaud et rosi par l’action et l’émotion, j’en profitai pour lever le camp, Victoire m’attendant pour aller chez des amis. « Et alors ces retrouvailles ? » me demanda Victoire.. « Voraces et imbibées.. » lui ai-je répondu.
JOURNAL
Samedi 30 octobre
Je le savais qu’il me voulait, alors je l’ai fait poiroter, c’est bien fait pour lui. Il n’avait qu’à pas m’abandonner. J’ai couché avec Ali. Je lui ai dit que ça ne le regardait pas, et je crois bien qu’il était excité et jaloux hi hi !
Quand Ali est retourné chez lui, P.. s’est occupé de moi, je n’ai pas appelé D.. En attendant, il n’a qu’à s’occuper de Victoire ..
Samedi 6 novembre
Il ne m’a même pas laissé un msg. Il doit bouder !
Lundi 8
Plus la patience d’attendre , je l’ai appelé : il était tout content ! Il ne boudait pas, au contraire, il m’a invité chez mon écailler favori. On se voit demain, c’est l’été indien il va faire beau temps, il fait exceptionnellement doux pour la saison, on annonce 24 degrés !
Mercredi 10
Je m’étais maquillée, mis ma robe rouge, légère, assez courte, sans soutif ni slip, j’aime bien l’exciter..
Il ne paraissait pas me reconnaître. J’avais un peu forcé sur le pinard pour me donner du courage. Je peux dire en toute modestie que mon arrivée n’est pas passée inaperçue ! Des clients attablés me complimentaient !. Je me suis assise face à mon chéri sur ses genoux, écartant les cuisses pour qu’il voit que je n’avais pas mis de culotte, et on s’est embrassés, je lui ai mis du rouge à lèvres sur la figure. Le plateau de fruits de mer est arrivé, on a bien mangé et beaucoup bu, ça fait que j’étais pompette et je riais beaucoup et trop fort, me disait mon chéri.. «Lison, tiens-toi bien, tout le monde te regarde!» Mais j’avais pas envie, je voulais m’amuser.
Quand on a eu fini, on s’est levés, il y avait de l’ambiance, y’en avait qui me disaient des trucs salaces, alors j’ai tiré la langue, et en pouffant j’ai soulevé ma robe et montré mes fesses. Ils ont crié bravo en applaudissant. D.. m’a bien vite fait sortir, disant que j’allais provoquer une émeute, il était gêné !
Chez moi, j’ai laissé tomber ma robe par terre, je l’ai déshabillé. Je le voulais en moi tout de suite, sauvagement. Lui avait envie d’une sieste. Je lui ai saisi la queue pour lui montrer ce que je voulais. Et alors ça a été comme toujours : on l’a fait et bien fait. J’ai bien joui, lui aussi. J’avais encore envie, alors je l’ai branlé fort pour qu’il revienne. Il m’a reprise avec vigueur. Il voulait que je lui dise comment c’était avec Ali, je voyais bien que ça le travaillait car il s’était mis à bander dur! J’ai dit que c’était mon jardin secret, et il a pas été content! Pour me punir il ma pincé et tiré les tétons, ça m’a fait mal, il voulait que je raconte. Alors j’ai seulement dit qu’il me remplissait bien avec sa grosse queue.. En repensant à Ali mon orgasme est venu d’un coup très fort. Mon chéri a suivi mais il n’avait plus grand chose dans les couilles! Je lui raconterai Ali une autre fois puisque ça a l’air de l’exciter bien fort. Je me suis endormie et lui, il a été retrouver Victoire.
Voulant lui parler d’Ali elle me mit le doigt sur les lèvres : « on ne parle pas de lui , compris ? » « Mais pourquoi » lui demandais-je. Elle me répondit que c’était son nouveau jardin secret. Fallait donc pas insister . Elle jouit rapidement en lançant comme à l’accoutumée une jambe en l’air, tout en poussant un fort glapissement. « Baise-moi plus fort, bourre moi, je veux que tu prennes ton plaisir, tire dans mon ventre la semence que j’ai fait sortir de tes couilles » Et sur ces belle paroles, elle me fit venir, je tirai longuement tout ce que je pus, en gueulant de plaisir. « C’est toi que j’aime » me dit-elle, « tu me baises mieux que les autres, même si tu n’as pas la plus épaisse ni la plus longue, ce dont je me fous ». Nous roulâmes sur le côté, elle sur moi, ses seins dans ma figure. J’attrapai ses tétons avec les dents, elle me laissa faire tout en saisissant ma queue mollissante qu’elle branla avec vigueur. Le poids de son corps sur le mien, ses seins répandus sur ma figure, ses cuisses entremêlées aux miennes m’excita, elle me fit raidir rapidement puis saisissant sa proie, elle la fourra dans sa chatte, et pendant que je la pénétrais elle me comprima à nouveau les boules ; « j’en veux encore de ta semence, tu sens comme je mouille ? C’est parce que tu es le seul à m’exciter comme ça ! » me dit-elle. « Menteuse » lui dis-je ! « M’enfin ! même P.. ne me fait pas mouiller comme toi ».. « Et Ali » demandais-je.. Elle me fit « Chuuut » tout en accélérant le trot pour passer au galop ! Pour la punir j’attrapai ses tétons que je tirai violemment en secouant ses seins : elle grimaça de douleur et me demanda d’arrêter. « J’arrêterai quand tu me diras comment Ali t‘as baisée ».. Elle répondit qu’il la baisée comme vous autres mais la différence c’est que la nature l’a nanti d’une grosse queue.. « Tu comprends, quand je l ‘ai senti me pénétrer j’ai su que j’allais jouir très vite » dit-elle en forçant son galop sur ma queue.. Le souvenir d’Ali fit qu’elle se mit à jouir brutalement, sans retenue, en rejetant la tête en arrière. A mon tour je me lâchai mais je n’avais plus grand chose à tirer et elle s’en aperçut. Alors épuisée elle s’endormit. Lui couvrant de la couette son corps nu, chaud et rosi par l’action et l’émotion, j’en profitai pour lever le camp, Victoire m’attendant pour aller chez des amis. « Et alors ces retrouvailles ? » me demanda Victoire.. « Voraces et imbibées.. » lui ai-je répondu.
JOURNAL
Samedi 30 octobre
Je le savais qu’il me voulait, alors je l’ai fait poiroter, c’est bien fait pour lui. Il n’avait qu’à pas m’abandonner. J’ai couché avec Ali. Je lui ai dit que ça ne le regardait pas, et je crois bien qu’il était excité et jaloux hi hi !
Quand Ali est retourné chez lui, P.. s’est occupé de moi, je n’ai pas appelé D.. En attendant, il n’a qu’à s’occuper de Victoire ..
Samedi 6 novembre
Il ne m’a même pas laissé un msg. Il doit bouder !
Lundi 8
Plus la patience d’attendre , je l’ai appelé : il était tout content ! Il ne boudait pas, au contraire, il m’a invité chez mon écailler favori. On se voit demain, c’est l’été indien il va faire beau temps, il fait exceptionnellement doux pour la saison, on annonce 24 degrés !
Mercredi 10
Je m’étais maquillée, mis ma robe rouge, légère, assez courte, sans soutif ni slip, j’aime bien l’exciter..
Il ne paraissait pas me reconnaître. J’avais un peu forcé sur le pinard pour me donner du courage. Je peux dire en toute modestie que mon arrivée n’est pas passée inaperçue ! Des clients attablés me complimentaient !. Je me suis assise face à mon chéri sur ses genoux, écartant les cuisses pour qu’il voit que je n’avais pas mis de culotte, et on s’est embrassés, je lui ai mis du rouge à lèvres sur la figure. Le plateau de fruits de mer est arrivé, on a bien mangé et beaucoup bu, ça fait que j’étais pompette et je riais beaucoup et trop fort, me disait mon chéri.. «Lison, tiens-toi bien, tout le monde te regarde!» Mais j’avais pas envie, je voulais m’amuser.
Quand on a eu fini, on s’est levés, il y avait de l’ambiance, y’en avait qui me disaient des trucs salaces, alors j’ai tiré la langue, et en pouffant j’ai soulevé ma robe et montré mes fesses. Ils ont crié bravo en applaudissant. D.. m’a bien vite fait sortir, disant que j’allais provoquer une émeute, il était gêné !
Chez moi, j’ai laissé tomber ma robe par terre, je l’ai déshabillé. Je le voulais en moi tout de suite, sauvagement. Lui avait envie d’une sieste. Je lui ai saisi la queue pour lui montrer ce que je voulais. Et alors ça a été comme toujours : on l’a fait et bien fait. J’ai bien joui, lui aussi. J’avais encore envie, alors je l’ai branlé fort pour qu’il revienne. Il m’a reprise avec vigueur. Il voulait que je lui dise comment c’était avec Ali, je voyais bien que ça le travaillait car il s’était mis à bander dur! J’ai dit que c’était mon jardin secret, et il a pas été content! Pour me punir il ma pincé et tiré les tétons, ça m’a fait mal, il voulait que je raconte. Alors j’ai seulement dit qu’il me remplissait bien avec sa grosse queue.. En repensant à Ali mon orgasme est venu d’un coup très fort. Mon chéri a suivi mais il n’avait plus grand chose dans les couilles! Je lui raconterai Ali une autre fois puisque ça a l’air de l’exciter bien fort. Je me suis endormie et lui, il a été retrouver Victoire.