- 27 sept. 2024, 00:05
#2826769
Tout a commencé pour moi après une tentative d’échangisme entre deux couples novices mais curieux. Nous nous étions chauffés tous les quatre, nous en avions tous envie. L’après midi avait été interminable et le trivial poursuit n’était qu’un prétexte pour créer deux équipes.
Philippe était le plus averti, il avait multiplié les aventures avant de rencontrer Caroline, très jolie brune fine et un peu timide.
Elle était pour moi l’opportunité de ma deuxième expérience et je ne pensais qu’à cela, qu’au challenge qui se présentait à moi.
Pourtant Sandrine était la plus sexy, elle ne portait qu’un grand pull en laine qui cachait à peine juste un petit string.
Philippe grand métisse de père martiniquais avait toujours eu beaucoup de succès avec les femmes. Il caressait déjà à peine discrètement la belle poitrine gonflée de désir de celle qui allait devenir ma femme quelques années plus tard. Ils avaient pris la place sur le canapé alors que étions moi et Caroline sur la moquette.
J’étais déjà complètement dominé par la situation et je ne me rendais pas encore compte de l’importance future de ce qui était en train de se passer. J’étais plutôt terrorisé pour mon manque d’expérience qui m’occupait l’esprit mais je ne me suis pas dégonfler.
J’ai pris Caroline par la main, et je l’ai emmené dans la chambre. Nous nous sommes embrasser et caresser, c’était un petit modèle, quelque chose de totalement nouveau pour moi.
Très vite, des gémissements se sont fait entendre dans le salon.
Alors que je faisais glisser le jeans de Caroline, je ne sentais rien dans le mien, l’appréhension était grande. Puis nous avons entendu Sandrine jouir, tout est allé si vite, l’alchimie n’y était pas entre nous et les gémissements ont bloqué définitivement Caroline qui m’a demandé d’aller les arrêter.
Avec la lumière tamisée, ils ne m’ont pas vu rentrer dans le salon, ils étaient tous les deux nus, il la prenait en levrette. J’étais dans un état second et alors que je l’approchais, il a eu le temps de la retourner, elle m’a vu mais pas lui. Je ne l’avais jamais vu aussi belle, que ce soit son beau gros cul en levrette, comme sa silhouette brûlante les jambes écartés offerte sur le canapé. Philippe allait en reprendre possession… je les ai arrêté. Caroline était déjà dans l’entrée.
Philippe était le plus averti, il avait multiplié les aventures avant de rencontrer Caroline, très jolie brune fine et un peu timide.
Elle était pour moi l’opportunité de ma deuxième expérience et je ne pensais qu’à cela, qu’au challenge qui se présentait à moi.
Pourtant Sandrine était la plus sexy, elle ne portait qu’un grand pull en laine qui cachait à peine juste un petit string.
Philippe grand métisse de père martiniquais avait toujours eu beaucoup de succès avec les femmes. Il caressait déjà à peine discrètement la belle poitrine gonflée de désir de celle qui allait devenir ma femme quelques années plus tard. Ils avaient pris la place sur le canapé alors que étions moi et Caroline sur la moquette.
J’étais déjà complètement dominé par la situation et je ne me rendais pas encore compte de l’importance future de ce qui était en train de se passer. J’étais plutôt terrorisé pour mon manque d’expérience qui m’occupait l’esprit mais je ne me suis pas dégonfler.
J’ai pris Caroline par la main, et je l’ai emmené dans la chambre. Nous nous sommes embrasser et caresser, c’était un petit modèle, quelque chose de totalement nouveau pour moi.
Très vite, des gémissements se sont fait entendre dans le salon.
Alors que je faisais glisser le jeans de Caroline, je ne sentais rien dans le mien, l’appréhension était grande. Puis nous avons entendu Sandrine jouir, tout est allé si vite, l’alchimie n’y était pas entre nous et les gémissements ont bloqué définitivement Caroline qui m’a demandé d’aller les arrêter.
Avec la lumière tamisée, ils ne m’ont pas vu rentrer dans le salon, ils étaient tous les deux nus, il la prenait en levrette. J’étais dans un état second et alors que je l’approchais, il a eu le temps de la retourner, elle m’a vu mais pas lui. Je ne l’avais jamais vu aussi belle, que ce soit son beau gros cul en levrette, comme sa silhouette brûlante les jambes écartés offerte sur le canapé. Philippe allait en reprendre possession… je les ai arrêté. Caroline était déjà dans l’entrée.