- 28 sept. 2021, 13:03
#2553465
Julie travaille dans une multinationale au service HR.
Société chez qui elle se plait, lui laisse beaucoup de liberté sur sa fonction et lui permet aussi de voyager lorsque le covid n’existait pas.
Cette entreprise prend tous les ans des stagiaires durant quelques mois, et cette année 2019 ne dérogea pas à la règle. Spécification des stagiaires, ils proviennent toujours de l’étranger et viennent en Europe (Belgique, France, Barcelone) durant +/- 6 mois.
Et cette année, Julie devait recevoir Raymond ! Je n’ai pas changé le nom car je trouve qu’il a son charme. Il faut savoir que Raymond est québécois et que tout le monde l’appelle Ray ! Sauf moi, j’adore Raymond.
Vous imaginez les gloussements des collègues de Julie lorsqu’elle annonça le nom de son stagiaire…
Vous imaginerez les gloussements de ses collègues lorsqu’elle le vire arriver.
En fait le Raymond est un mélange de bucheron et de joueur de hockey… 1m95, peut-être 90 kg, châtain et surtout un accent exceptionnel….
Durant son stage, jamais la machine à café de son service fut autant squattée…
Raymond s’intégra rapidement dans l’équipe et devint même la mascotte du service.
Moi, Max, de mon côté j’entendais beaucoup d’éloge sur son sujet ainsi que quelques railleries sur d’éventuelles conquêtes qu’il eut avec les jeunettes du bureau (et de partout, paris, Barcelone,..)
Bref un stage réussi… je voyais également qu’il ne laissait pas Julie indifférente. Lorsqu’il était en Belgique, il y avait une attention toute spécifique à sa tenue vestimentaire, et a son comportement.
Un soir, que je profitais être dans la capitale pour rejoindre Julie et faire un resto sur Bruxelles, je l’attendais à la porte de son building, quand ma chère et tendre arriva, accompagnée de Raymond.
Présentations faites, nous décidâmes d’aller boire un verre ensemble, puis ce fut le repas, puis de nouveau un ou plusieurs verres. Bref nous n’avions pas vu l’heure passer, il était 2h du matin, nous devions encore rentrer chez nous pour quelques pauvres heures de sommeil.
Les discussions allèrent bon train, parfois grivoises et nous en profitions pour comparer nos habitudes au lit (en parole bien entendu)
Agréable soirée, on s’est bien amusé, du coup, 2-3 semaines plus tard, Raymond venait souper à la maison.
Je fus surpris par le choix vestimentaire de Julie, je lui fis remarquer que c’était quasi un appel au viol… chic mais ultra sexy, robe noire, moulante dont le dos n’était qu’un voile.
Encore une fois ce fut, une très chouette soirée, mais malgré les tentatives d’approche de Julie, les dialogues que nous échangions, rien ne se passa. Il était 2h du matin , il avait 1h de route, une chaleureuse accolade entre nous, un bisou presque sur les lèvres de Julie, et le voilà parti…
Juste après son départ, Julie me sauta dessus, excitée de toute la soirée et frustrée du non tournure des évènements.
Les jours passèrent et se ressemblèrent jusque la mi-juin.
Je passe la main à Julie pour expliquer le pot d’adieu de Raymond.
Comme Max vous a résumé la situation depuis le début du stage de Ray, je ne vais pas revenir dessus.
Ce garçon a un charme et un charisme exceptionnel… je suis sûr que lorsque vous avez la chance de vous sentir blottie dans ses bras, rien ne peut vous arriver. Malheureusement cette chance je ne l’ai pas encore eu, et ce n’est pas faute de l’avoir tenté. Quoique voilà, au boulot, on a quelques réserves.
Arrive donc la fin du stage, rapport, évaluation, vous vous en doutez. Parfait.
Il repartait un samedi pour son Québec natal, et le mercredi il décidé d’organiser dans les bureaux un pot de départ…
J’ai rarement vu autant de filles à un pot de départ et je dois bien avouer que nous avions chacune fait un effort sur nos tenues…
« Mon » Ray était accaparé de toutes parts…et au fur et à mesure de la soirée, l’audience diminua…
J’étais son maitre de stage, je me devais de l’assister jusque la fin… La soirée finie, quelques verres d’alcool, nous finissons de ranger le mess qui avait était le lieu de la fête…
Il me remercia encore pour la bienveillance dont j’avais fait part envers lui durant ce semestre, et il sorti de je ne sais ou, une bouteille bien fraiche de champagne… Dommage de ne pas la finir…
Une coupe remplie, la deuxième, on trinque et là, c’est un véritable aimant. Nos yeux se croisent, nos bouches se touchent, des bras musclés me soulèvent, me voilà enfin dans ses bras…
On s’embrassa comme deux ados pendant de longues minutes, mais nos mains ne restèrent pas inactives et bientôt, nos vêtements jonchèrent le sol.
Il me déposa sur une table, et enleva délicatement le dernier rempart de ma pudeur… j’étais dans un état second, peut-être à cause de l’alcool mais pas que…
Sa bouche vint se poser sur mes lèvres et sa langue titiller mon clitoris. En moins de 2 minutes un premier orgasme me terrassa.
Il avait une technique très particulière de pincer les tetons, ça me rendait folle (surtout que je ne suis pas forcement folle de cette pratique).
Je décide de lui rendre la pareille et m’agenouilla devant lui.
Son caleçon était bien déformé par un membre que j’avais caressé juste avant et qui m’avait laissé perplexe. Ce fut un choc, ou une révélation, quand j’abaissai ce dernier obstacle, je me retrouvai devant un membre comme je n’en avais jamais eu. Je n’arrivais pas à mettre plus que le gland dans ma bouche. Qu’à cela ne tienne, je décidé de le lécher, le caresser, et je pouvais sans problème utiliser mes deux mains plus mes lèvres… je me régalais réellement de ce bonbon qu’on me donnait.
Je le sentais bientôt prêt à défaillir, il me releva, je m’agrippai à son coup, les jambes autour de sa taille et je me laissais descendre sur son sexe. En fait je me faisais empaler. Il avait de la force le cochon, il me baisa comme cela pendant quelques minutes…
Ensuite je crois que nous sommes passés par toutes les positions, notamment moi sur lui à califourchon entrain de descendre et de monter… là aussi je pus me rendre compte de la taille.
La levrette fut mémorable, je n’ai pas compté combien d’orgasme j’ai eu durant la petite heure que dura nos ébats…
Nous nous quittâmes après avoir remis de l’ordre dans nos affaires et en espérant que tout le monde avait bien quitté le bureau.
En montant dans la voiture, j’envoyai un sms à Max, « Mon chéri je t’aime, mon stagiaire a réussi son stage avec la mention excellent ».
Me voici arrivée à la maison…
Je rends la main à Max.
Je savais que Julie était attirée sexuellement par Raymond, et je savais que c’était sa dernière chance pour y parvenir… moi j’étais resté à la maison, enfant, souper, boulot.
Apres son sms, il m’était impossible de dormir, je la vis arriver dans le lit, éreintée, elle laissa tomber ses vêtements au sol et vint se coucher près de moi dans mes bras. Elle sentait le sexe, le plaisir, et le sperme, pas le mien…
Je lui demandai de me raconter, elle me répondit être trop fatiguée pour ça. En tant que male et mari, je voulu marquer mon territoire après le passage d’un autre, et elle me dit, oublie après lui, je ne sentirai rien, tu vas flotter en moi… elle se retourna et dodo. Enfin pour elle.
Nous nous étions promis de nous revoir avec Raymond, il était même prévu que nous allions en 2020 au canada. Puis il eut le covid. Julie a encore des nouvelles régulièrement, il est maintenant en couple avec une fille, et envisage de se marier…
Société chez qui elle se plait, lui laisse beaucoup de liberté sur sa fonction et lui permet aussi de voyager lorsque le covid n’existait pas.
Cette entreprise prend tous les ans des stagiaires durant quelques mois, et cette année 2019 ne dérogea pas à la règle. Spécification des stagiaires, ils proviennent toujours de l’étranger et viennent en Europe (Belgique, France, Barcelone) durant +/- 6 mois.
Et cette année, Julie devait recevoir Raymond ! Je n’ai pas changé le nom car je trouve qu’il a son charme. Il faut savoir que Raymond est québécois et que tout le monde l’appelle Ray ! Sauf moi, j’adore Raymond.
Vous imaginez les gloussements des collègues de Julie lorsqu’elle annonça le nom de son stagiaire…
Vous imaginerez les gloussements de ses collègues lorsqu’elle le vire arriver.
En fait le Raymond est un mélange de bucheron et de joueur de hockey… 1m95, peut-être 90 kg, châtain et surtout un accent exceptionnel….
Durant son stage, jamais la machine à café de son service fut autant squattée…
Raymond s’intégra rapidement dans l’équipe et devint même la mascotte du service.
Moi, Max, de mon côté j’entendais beaucoup d’éloge sur son sujet ainsi que quelques railleries sur d’éventuelles conquêtes qu’il eut avec les jeunettes du bureau (et de partout, paris, Barcelone,..)
Bref un stage réussi… je voyais également qu’il ne laissait pas Julie indifférente. Lorsqu’il était en Belgique, il y avait une attention toute spécifique à sa tenue vestimentaire, et a son comportement.
Un soir, que je profitais être dans la capitale pour rejoindre Julie et faire un resto sur Bruxelles, je l’attendais à la porte de son building, quand ma chère et tendre arriva, accompagnée de Raymond.
Présentations faites, nous décidâmes d’aller boire un verre ensemble, puis ce fut le repas, puis de nouveau un ou plusieurs verres. Bref nous n’avions pas vu l’heure passer, il était 2h du matin, nous devions encore rentrer chez nous pour quelques pauvres heures de sommeil.
Les discussions allèrent bon train, parfois grivoises et nous en profitions pour comparer nos habitudes au lit (en parole bien entendu)
Agréable soirée, on s’est bien amusé, du coup, 2-3 semaines plus tard, Raymond venait souper à la maison.
Je fus surpris par le choix vestimentaire de Julie, je lui fis remarquer que c’était quasi un appel au viol… chic mais ultra sexy, robe noire, moulante dont le dos n’était qu’un voile.
Encore une fois ce fut, une très chouette soirée, mais malgré les tentatives d’approche de Julie, les dialogues que nous échangions, rien ne se passa. Il était 2h du matin , il avait 1h de route, une chaleureuse accolade entre nous, un bisou presque sur les lèvres de Julie, et le voilà parti…
Juste après son départ, Julie me sauta dessus, excitée de toute la soirée et frustrée du non tournure des évènements.
Les jours passèrent et se ressemblèrent jusque la mi-juin.
Je passe la main à Julie pour expliquer le pot d’adieu de Raymond.
Comme Max vous a résumé la situation depuis le début du stage de Ray, je ne vais pas revenir dessus.
Ce garçon a un charme et un charisme exceptionnel… je suis sûr que lorsque vous avez la chance de vous sentir blottie dans ses bras, rien ne peut vous arriver. Malheureusement cette chance je ne l’ai pas encore eu, et ce n’est pas faute de l’avoir tenté. Quoique voilà, au boulot, on a quelques réserves.
Arrive donc la fin du stage, rapport, évaluation, vous vous en doutez. Parfait.
Il repartait un samedi pour son Québec natal, et le mercredi il décidé d’organiser dans les bureaux un pot de départ…
J’ai rarement vu autant de filles à un pot de départ et je dois bien avouer que nous avions chacune fait un effort sur nos tenues…
« Mon » Ray était accaparé de toutes parts…et au fur et à mesure de la soirée, l’audience diminua…
J’étais son maitre de stage, je me devais de l’assister jusque la fin… La soirée finie, quelques verres d’alcool, nous finissons de ranger le mess qui avait était le lieu de la fête…
Il me remercia encore pour la bienveillance dont j’avais fait part envers lui durant ce semestre, et il sorti de je ne sais ou, une bouteille bien fraiche de champagne… Dommage de ne pas la finir…
Une coupe remplie, la deuxième, on trinque et là, c’est un véritable aimant. Nos yeux se croisent, nos bouches se touchent, des bras musclés me soulèvent, me voilà enfin dans ses bras…
On s’embrassa comme deux ados pendant de longues minutes, mais nos mains ne restèrent pas inactives et bientôt, nos vêtements jonchèrent le sol.
Il me déposa sur une table, et enleva délicatement le dernier rempart de ma pudeur… j’étais dans un état second, peut-être à cause de l’alcool mais pas que…
Sa bouche vint se poser sur mes lèvres et sa langue titiller mon clitoris. En moins de 2 minutes un premier orgasme me terrassa.
Il avait une technique très particulière de pincer les tetons, ça me rendait folle (surtout que je ne suis pas forcement folle de cette pratique).
Je décide de lui rendre la pareille et m’agenouilla devant lui.
Son caleçon était bien déformé par un membre que j’avais caressé juste avant et qui m’avait laissé perplexe. Ce fut un choc, ou une révélation, quand j’abaissai ce dernier obstacle, je me retrouvai devant un membre comme je n’en avais jamais eu. Je n’arrivais pas à mettre plus que le gland dans ma bouche. Qu’à cela ne tienne, je décidé de le lécher, le caresser, et je pouvais sans problème utiliser mes deux mains plus mes lèvres… je me régalais réellement de ce bonbon qu’on me donnait.
Je le sentais bientôt prêt à défaillir, il me releva, je m’agrippai à son coup, les jambes autour de sa taille et je me laissais descendre sur son sexe. En fait je me faisais empaler. Il avait de la force le cochon, il me baisa comme cela pendant quelques minutes…
Ensuite je crois que nous sommes passés par toutes les positions, notamment moi sur lui à califourchon entrain de descendre et de monter… là aussi je pus me rendre compte de la taille.
La levrette fut mémorable, je n’ai pas compté combien d’orgasme j’ai eu durant la petite heure que dura nos ébats…
Nous nous quittâmes après avoir remis de l’ordre dans nos affaires et en espérant que tout le monde avait bien quitté le bureau.
En montant dans la voiture, j’envoyai un sms à Max, « Mon chéri je t’aime, mon stagiaire a réussi son stage avec la mention excellent ».
Me voici arrivée à la maison…
Je rends la main à Max.
Je savais que Julie était attirée sexuellement par Raymond, et je savais que c’était sa dernière chance pour y parvenir… moi j’étais resté à la maison, enfant, souper, boulot.
Apres son sms, il m’était impossible de dormir, je la vis arriver dans le lit, éreintée, elle laissa tomber ses vêtements au sol et vint se coucher près de moi dans mes bras. Elle sentait le sexe, le plaisir, et le sperme, pas le mien…
Je lui demandai de me raconter, elle me répondit être trop fatiguée pour ça. En tant que male et mari, je voulu marquer mon territoire après le passage d’un autre, et elle me dit, oublie après lui, je ne sentirai rien, tu vas flotter en moi… elle se retourna et dodo. Enfin pour elle.
Nous nous étions promis de nous revoir avec Raymond, il était même prévu que nous allions en 2020 au canada. Puis il eut le covid. Julie a encore des nouvelles régulièrement, il est maintenant en couple avec une fille, et envisage de se marier…