- 07 janv. 2024, 09:50
#2769835
Chaque rencontre est unique quand la magie s’opère ! Par Senxualine
Nous les avions rencontrés lors d’une soirée multiple, le contact physique et les échanges avaient été stimulants, nous avions décidé de nous voir durant les fêtes.
Ils venaient de Dunkerque, nous leur avions proposé de dormir une nuit à la maison.
Nos esprits étaient préparés et mon sexe palpitait et s'humidifiait abondamment en imaginant cette rencontre.
Diana m’avait demandé dans l’après midi si je voulais préparer quelque chose pour mettre nos hommes en condition.
Je lui avais répondu d’y aller en douceur; j’aime faire monter la température progressivement.
J'aime l'attention, la délicatesse, chaque rencontre est unique, je déteste l'idée d'un "trophée" supplémentaire comme le voient certains.
J'aime découvrir la personne dans son ensemble, le sexe est pour moi l'aboutissement d'une belle aventure humaine.
Quand la rencontre humaine est magique , la fusion des corps s'opère.
Ils sont arrivés vers 20h, rayonnants, solaires comme nous les avions découverts.
Nous avions servi du champagne, accompagné de charcuterie italienne et fromages italiens (clin d'œil à mes origines).
Nous avions discuté jusqu’au moment où Diana s’est levée en nous disant : « nous avons préparé une petite surprise pour vous.
Allez dans votre chambre et on vous appelle quand la surprise est prête ! »
Ne pas savoir, m’avait excitée, et dans la chambre j’avais dit à Hennefa : « cette situation m’excite ! »
Le matin Hennefa avait voulu me faire l’amour et je lui avais dit d’attendre le soir, la frustration ponctuelle ayant un effet bénéfique sur l’excitation. J’avais juste pris son sexe dans ma bouche, commencé par le sucer en le regardant dans les yeux et je lui avais dit : « tu vas devoir attendre! »
Le soir, nous avons donc suivi les consignes de Diana, nous sommes montés, Hennefa et moi, dans notre chambre.
Hennefa s’était allongé sur le lit et j’avais commencé à le sucer très lentement il était fou d’excitation et son sexe était très dur en attendant que Paul et Diana préparent la surprise.
Concentrés dans notre excitation mutuelle , Diana nous interrompit en nous disant que la surprise était prête : « vous pouvez descendre en sous-vêtements ou avec une serviette autour de vous ! »
C’était très drôle, excitant, pris la main dans le sac, car Hennefa avec une protubérance entre les jambes qui venait dresser la serviette.
Nous arrivions tous les deux dans le salon moi le sourire aux lèvres, Hennefa se marrant également face à cette situation.
Diana et Paul, avaient trouvé que nous n’avions pas perdu de temps, cela les avaient fait rire, le temps avait passé très vite.
Dans le salon, ils avaient installé deux tables de massage, et nous avions choisi notre huile de massage, YLANG-YLANG pour les connaisseurs.
Ils nous demandèrent de nous installer nus, ventre contre la table et ils commencèrent un massage californien du dos, des bras, des jambes et des parties intimes, d’une sensualité extrême. Paul me massait et Diana massait Hennefa.
J'ai pour habitude d'être très active dans une rencontre, j'ai beaucoup de difficultés à me soumettre, j'ai besoin de contrôler les choses.
Là je ne contrôlais rien, j'étais à l'écoute de mon corps, de mes sensations et des sons émis par ma bouche en réaction au toucher de mon corps.
Le toucher, la découverte de mon corps, l'obligation de me laisser faire, décuplaient mes sensations.
L'intimité d'un massage, la découverte de chaque zone érogène permet de comprendre comment chaque femme fonctionne dans son plaisir, clé du succès d'une jouissance extrême. L'approche de mon sexe, sans y aller, l'effleurement, l'envie d'en avoir plus, induisaient des contractions musculaires et humidifiaient mon sexe.
J'avais complètement oublié Hennefa, complètement centrée sur mon plaisir et je pense aussi qu'il m'avait oubliée. (PS : Hennefa, tu peux écrire ta version)
Le massage arrivait à sa fin j'avais passé un moment magique, qui avait mis tous mes sens en éveil.
J'étais super excitée.
Paul m'avait fait descendre de la table.
Nous avions commencé par nous embrasser, j'avais envie de son sexe en moi, j'avais envie de le sentir me posséder, je commençais à le déshabiller et à le caresser, le sexe à pleine main, il bandait fort.
La découverte de mon corps l'avait probablement stimulé mais Paul voulait encore me découvrir. Il ne voulait pas me pénétrer, il voulait poursuivre son exploration et me faire patienter.
Il commençait par enfoncer un doigt puis deux dans mon vagin, il caressait les parois de mon vagin avec vigueur, je sentais le plaisir monter en moi , j'étais trempée, le souffle court, j'haletais, j'essayais de continuer à le caresser mais j'étais très centrée sur le plaisir qui m'envahissait.
Je ne me connaissais pas fontaine, c'est mon premier complice qui m'avait offert ce cadeau et Paul continuait cette découverte. Je savais où il voulait m'emmener et mon corps ne demandait qu'à être transporté.
Ses doigts étaient impétueux, j'adorais les sentir en moi jusqu’à ce qu'il me fasse gicler, un liquide chaud coulait entre mes cuisses, inondant le sol, le souffle court je m'accrochais à lui avec un sentiment de plénitude.
Nous nous regardions tous les deux, le sourire aux lèvres.
Il m'avait possédé pleinement, j'avais lâché prise et je tentais de me reconnecter en douceur avec l'environnement.
Je n'avais qu'une idée, le déguster et faire jaillir son plaisir comme il avait fait jaillir le mien.
Je le pris par la main et je l'emmenai dans la chambre.
Je commençai par le sucer doucement car j'avais à la fois très envie de le prendre à pleine bouche pour le remercier de sa délicate attention et en même temps j'avais envie de le faire patienter comme il m'avait fait patienter pour lui faire atteindre un orgasme puissant, c'était mon but : faire exploser son plaisir.
Je m'allongeais entre ses cuisses, je déposais mon souffle chaud sur sa queue et je la sentais réagir rapidement à l'approche de ma bouche.
Je voulais qu'il se déverse dans ma bouche ou sur mes seins et je réfléchissais à mon approche pour atteindre mon objectif en le temporisant.
Je passais ma langue et plus précisément le bout de ma langue le long de sa queue de bas en haut pour m'attarder sur son gland.
Je renouvelais le geste car je sentais que cela l'excitait et en même temps il avait envie d'aller plus loin.
J'enroulais ma langue autour de son gland et je scrutais chacune de ses réactions pour trouver la source de son plaisir, il mordait sa lèvre, la dégustation était au rendez-vous, il prenait plaisir à cette découverte.
J'enfonçais son sexe profondément dans ma bouche, sa queue était bien dure et je poursuivais ma quête de plaisir.
Son souffle était rapide, son envie était bien présente, je branlais sa queue avec vigueur et j'ouvrais ma bouche pour le faire exploser à l'intérieur.
Ma chatte et mon esprit débordaient d'excitation.
Je sentais le point culminant de son excitation arrivait, il criait en venant se déverser dans ma bouche, j'avalais son liquide chaud et je passais ma langue sur mes lèvres avec une grande satisfaction d'un plaisir partagé en le regardant dans les yeux.
Hennefa avait joui également et j'avais envie de jouer avec Diana, elle n'était pas bi, elle le disait mais j'avais envie de lui faire découvrir le plaisir qu'elle m'avait donné avec le massage de Paul.
J'adore jouer, je dis à Paul et Hennefa : « j'ai encore envie de jouer ! »
Je pris un ruban et je demandai à Diana si elle me faisait confiance.
Elle me répondit que oui. J'occultai son regard avec un ruban de tissu, je l'installai sur le lit et je lui écartai les jambes, elle était offerte.
Je pris un plumeau et je le passai délicatement sur son corps et je m'attardai sur ses cuisses et à proximité de son sexe en y passant de façon aléatoire.
Elle me dit : « c'est boooon » tout en gémissant. Je donnai le plumeau à Hennefa et à Paul et à tour de rôle, je les encourageai en sachant que Diana ne savait pas qui lui procurait ce plaisir naissant.
Paul poursuivit avec le plumeau et je me penchai pour passer ma langue délicatement sur sa fente. Hennefa me rejoignit et nos deux langues se mirent à disposition du plaisir de Diana.
Diana se cambrait, son plaisir s’exprimait par un souffle court, elle tentait de deviner qui lui passait la langue, le plumeau, le but était d’attiser son plaisir sans la faire exploser.
Une idée me parcourut la tête, j'ouvris le tiroir de ma table de chevet et je tirai mon lapin et mon womanizer que j'avais préparés pour l'occasion.
Je passais mon lapin sur ses lèvres qui brillaient d'excitation, elle criait, elle me disait « c'est trop bien ». J'enfonçai les deux oreilles de lapin dans son vagin, je demandai à Hennefa de le maintenir et de jouer avec, elle avait toujours le bandeau devant les yeux.
Pendant ce temps, je pris le womanizer et je le collai sur son clito. A cet instant elle appela Paul, elle prit sa main, elle la lui serra.
Elle lui dit : « chéri c'est trop bon , je veux les mêmes à la maison ». Nous étions tous les quatre très excités et en même temps on rigolait de la voir aussi libre face à la découverte de son plaisir.
Diana était belle dans ce plaisir qu'elle prenait, Hennefa lui chuchotait de se laisser aller et de prendre son plaisir.
Paul la caressait et lui tenait la main.
Nous étions dans un moment de plaisir suspendu, de bonheur, de jouissance, de plaisir partagé, nous sourions tous les quatre.
L'instant était magique le libertinage m' a encore une fois permis de donner du plaisir, dans le cadre d'une rencontre unique. Cette soirée s'est terminé à 4h30, nous étions tous fatigués le lendemain mais sur notre nuage.
Je considère chaque rencontre comme une rencontre potentiellement unique, cette rencontre était unique, la magie avait opéré.
Version de Hennefa à suivre...
Nous les avions rencontrés lors d’une soirée multiple, le contact physique et les échanges avaient été stimulants, nous avions décidé de nous voir durant les fêtes.
Ils venaient de Dunkerque, nous leur avions proposé de dormir une nuit à la maison.
Nos esprits étaient préparés et mon sexe palpitait et s'humidifiait abondamment en imaginant cette rencontre.
Diana m’avait demandé dans l’après midi si je voulais préparer quelque chose pour mettre nos hommes en condition.
Je lui avais répondu d’y aller en douceur; j’aime faire monter la température progressivement.
J'aime l'attention, la délicatesse, chaque rencontre est unique, je déteste l'idée d'un "trophée" supplémentaire comme le voient certains.
J'aime découvrir la personne dans son ensemble, le sexe est pour moi l'aboutissement d'une belle aventure humaine.
Quand la rencontre humaine est magique , la fusion des corps s'opère.
Ils sont arrivés vers 20h, rayonnants, solaires comme nous les avions découverts.
Nous avions servi du champagne, accompagné de charcuterie italienne et fromages italiens (clin d'œil à mes origines).
Nous avions discuté jusqu’au moment où Diana s’est levée en nous disant : « nous avons préparé une petite surprise pour vous.
Allez dans votre chambre et on vous appelle quand la surprise est prête ! »
Ne pas savoir, m’avait excitée, et dans la chambre j’avais dit à Hennefa : « cette situation m’excite ! »
Le matin Hennefa avait voulu me faire l’amour et je lui avais dit d’attendre le soir, la frustration ponctuelle ayant un effet bénéfique sur l’excitation. J’avais juste pris son sexe dans ma bouche, commencé par le sucer en le regardant dans les yeux et je lui avais dit : « tu vas devoir attendre! »
Le soir, nous avons donc suivi les consignes de Diana, nous sommes montés, Hennefa et moi, dans notre chambre.
Hennefa s’était allongé sur le lit et j’avais commencé à le sucer très lentement il était fou d’excitation et son sexe était très dur en attendant que Paul et Diana préparent la surprise.
Concentrés dans notre excitation mutuelle , Diana nous interrompit en nous disant que la surprise était prête : « vous pouvez descendre en sous-vêtements ou avec une serviette autour de vous ! »
C’était très drôle, excitant, pris la main dans le sac, car Hennefa avec une protubérance entre les jambes qui venait dresser la serviette.
Nous arrivions tous les deux dans le salon moi le sourire aux lèvres, Hennefa se marrant également face à cette situation.
Diana et Paul, avaient trouvé que nous n’avions pas perdu de temps, cela les avaient fait rire, le temps avait passé très vite.
Dans le salon, ils avaient installé deux tables de massage, et nous avions choisi notre huile de massage, YLANG-YLANG pour les connaisseurs.
Ils nous demandèrent de nous installer nus, ventre contre la table et ils commencèrent un massage californien du dos, des bras, des jambes et des parties intimes, d’une sensualité extrême. Paul me massait et Diana massait Hennefa.
J'ai pour habitude d'être très active dans une rencontre, j'ai beaucoup de difficultés à me soumettre, j'ai besoin de contrôler les choses.
Là je ne contrôlais rien, j'étais à l'écoute de mon corps, de mes sensations et des sons émis par ma bouche en réaction au toucher de mon corps.
Le toucher, la découverte de mon corps, l'obligation de me laisser faire, décuplaient mes sensations.
L'intimité d'un massage, la découverte de chaque zone érogène permet de comprendre comment chaque femme fonctionne dans son plaisir, clé du succès d'une jouissance extrême. L'approche de mon sexe, sans y aller, l'effleurement, l'envie d'en avoir plus, induisaient des contractions musculaires et humidifiaient mon sexe.
J'avais complètement oublié Hennefa, complètement centrée sur mon plaisir et je pense aussi qu'il m'avait oubliée. (PS : Hennefa, tu peux écrire ta version)
Le massage arrivait à sa fin j'avais passé un moment magique, qui avait mis tous mes sens en éveil.
J'étais super excitée.
Paul m'avait fait descendre de la table.
Nous avions commencé par nous embrasser, j'avais envie de son sexe en moi, j'avais envie de le sentir me posséder, je commençais à le déshabiller et à le caresser, le sexe à pleine main, il bandait fort.
La découverte de mon corps l'avait probablement stimulé mais Paul voulait encore me découvrir. Il ne voulait pas me pénétrer, il voulait poursuivre son exploration et me faire patienter.
Il commençait par enfoncer un doigt puis deux dans mon vagin, il caressait les parois de mon vagin avec vigueur, je sentais le plaisir monter en moi , j'étais trempée, le souffle court, j'haletais, j'essayais de continuer à le caresser mais j'étais très centrée sur le plaisir qui m'envahissait.
Je ne me connaissais pas fontaine, c'est mon premier complice qui m'avait offert ce cadeau et Paul continuait cette découverte. Je savais où il voulait m'emmener et mon corps ne demandait qu'à être transporté.
Ses doigts étaient impétueux, j'adorais les sentir en moi jusqu’à ce qu'il me fasse gicler, un liquide chaud coulait entre mes cuisses, inondant le sol, le souffle court je m'accrochais à lui avec un sentiment de plénitude.
Nous nous regardions tous les deux, le sourire aux lèvres.
Il m'avait possédé pleinement, j'avais lâché prise et je tentais de me reconnecter en douceur avec l'environnement.
Je n'avais qu'une idée, le déguster et faire jaillir son plaisir comme il avait fait jaillir le mien.
Je le pris par la main et je l'emmenai dans la chambre.
Je commençai par le sucer doucement car j'avais à la fois très envie de le prendre à pleine bouche pour le remercier de sa délicate attention et en même temps j'avais envie de le faire patienter comme il m'avait fait patienter pour lui faire atteindre un orgasme puissant, c'était mon but : faire exploser son plaisir.
Je m'allongeais entre ses cuisses, je déposais mon souffle chaud sur sa queue et je la sentais réagir rapidement à l'approche de ma bouche.
Je voulais qu'il se déverse dans ma bouche ou sur mes seins et je réfléchissais à mon approche pour atteindre mon objectif en le temporisant.
Je passais ma langue et plus précisément le bout de ma langue le long de sa queue de bas en haut pour m'attarder sur son gland.
Je renouvelais le geste car je sentais que cela l'excitait et en même temps il avait envie d'aller plus loin.
J'enroulais ma langue autour de son gland et je scrutais chacune de ses réactions pour trouver la source de son plaisir, il mordait sa lèvre, la dégustation était au rendez-vous, il prenait plaisir à cette découverte.
J'enfonçais son sexe profondément dans ma bouche, sa queue était bien dure et je poursuivais ma quête de plaisir.
Son souffle était rapide, son envie était bien présente, je branlais sa queue avec vigueur et j'ouvrais ma bouche pour le faire exploser à l'intérieur.
Ma chatte et mon esprit débordaient d'excitation.
Je sentais le point culminant de son excitation arrivait, il criait en venant se déverser dans ma bouche, j'avalais son liquide chaud et je passais ma langue sur mes lèvres avec une grande satisfaction d'un plaisir partagé en le regardant dans les yeux.
Hennefa avait joui également et j'avais envie de jouer avec Diana, elle n'était pas bi, elle le disait mais j'avais envie de lui faire découvrir le plaisir qu'elle m'avait donné avec le massage de Paul.
J'adore jouer, je dis à Paul et Hennefa : « j'ai encore envie de jouer ! »
Je pris un ruban et je demandai à Diana si elle me faisait confiance.
Elle me répondit que oui. J'occultai son regard avec un ruban de tissu, je l'installai sur le lit et je lui écartai les jambes, elle était offerte.
Je pris un plumeau et je le passai délicatement sur son corps et je m'attardai sur ses cuisses et à proximité de son sexe en y passant de façon aléatoire.
Elle me dit : « c'est boooon » tout en gémissant. Je donnai le plumeau à Hennefa et à Paul et à tour de rôle, je les encourageai en sachant que Diana ne savait pas qui lui procurait ce plaisir naissant.
Paul poursuivit avec le plumeau et je me penchai pour passer ma langue délicatement sur sa fente. Hennefa me rejoignit et nos deux langues se mirent à disposition du plaisir de Diana.
Diana se cambrait, son plaisir s’exprimait par un souffle court, elle tentait de deviner qui lui passait la langue, le plumeau, le but était d’attiser son plaisir sans la faire exploser.
Une idée me parcourut la tête, j'ouvris le tiroir de ma table de chevet et je tirai mon lapin et mon womanizer que j'avais préparés pour l'occasion.
Je passais mon lapin sur ses lèvres qui brillaient d'excitation, elle criait, elle me disait « c'est trop bien ». J'enfonçai les deux oreilles de lapin dans son vagin, je demandai à Hennefa de le maintenir et de jouer avec, elle avait toujours le bandeau devant les yeux.
Pendant ce temps, je pris le womanizer et je le collai sur son clito. A cet instant elle appela Paul, elle prit sa main, elle la lui serra.
Elle lui dit : « chéri c'est trop bon , je veux les mêmes à la maison ». Nous étions tous les quatre très excités et en même temps on rigolait de la voir aussi libre face à la découverte de son plaisir.
Diana était belle dans ce plaisir qu'elle prenait, Hennefa lui chuchotait de se laisser aller et de prendre son plaisir.
Paul la caressait et lui tenait la main.
Nous étions dans un moment de plaisir suspendu, de bonheur, de jouissance, de plaisir partagé, nous sourions tous les quatre.
L'instant était magique le libertinage m' a encore une fois permis de donner du plaisir, dans le cadre d'une rencontre unique. Cette soirée s'est terminé à 4h30, nous étions tous fatigués le lendemain mais sur notre nuage.
Je considère chaque rencontre comme une rencontre potentiellement unique, cette rencontre était unique, la magie avait opéré.
Version de Hennefa à suivre...
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